Paracha Ki Tavo – Rav Rozenberg Za »l
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Cours vidéo du Rav Haim Rozenberg Za »l sur la Paracha de cette semaine, Ki Tavo
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Cours vidéo du Rav Haim Rozenberg Za »l sur la Paracha de cette semaine, Ki Tavo
La paracha des Bikourim est toujours lue à l’approche de Roch haChana. L’occasion donc d’approfondir quelque peu l’idée même de « commencement»…
Nos sages, en particulier le Rambam, nous ont fait un devoir de lire la paracha Ki Tavo avant Roch Hachana afin que s’accomplisse le souhait exprimé au premier soir de cette fête : « Que l’année s’achève avec ses malédictions et que la nouvelle commence avec ses bénédictions ! ». Que signifie cet enchaînement ?
La parachath Ki thavo emploie, pour désigner une calamité, la même expression que celle que nous utilisons, dans nos prières de Yom kippour, pour caractériser une manière de pécher. Laquelle ?
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Cours vidéo par le rav Dov Roth-Lumbroso, sur la Pracha de cette semaine, Ki Tavo. Est présenté la Mitsva des Bicourim, celle d’amener le prémices de la récolte en offrande au Beth Hamikdach.
Vers la fin du livre de Dévarim, qui est essentiellement composé des reproches formulés au peuple hébreu par Moché avant son décès, apparaissent les plus sévères remontrances de la Torah, exposées dans la paracha de Ki Tavo. Dans ces remontrances, le Saint béni soit-Il met en garde Israël de ne pas violer Sa parole, sous peine de subir des châtiments plus terribles les uns que les autres. Mais avant cette longue liste menaçante, la Torah énonce une série de bénédictions.
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Cours vidéo sur la Paracha de cette semaine, Ki Tetsé en vidéo par Rav Raphaël Sadin.
« Ne laboure pas avec un bœuf et un âne attelés ensemble ! », (Devarim, 22, 10). Rachi ajoute à ce propos qu’il en va de même pour toutes les espèces animales existantes qui diffèrent rentes ; et il en va de même si on les mène harnachés par paires pour transporter quelque fardeau (Traité talmudique Baba Métsia, page 8/b).
L’institution du divorce, rapidement évoquée dans notre paracha ( Devarim 24, 1 à 4), a donné lieu dans les textes talmudiques et post-talmudiques, a une abondante littérature. L’une des questions qui se posent au sujet du divorce est de savoir quelle en est la légitimité, alors que le mariage, véritable sacrement (Qiddouchine), aurait dû être indissoluble.
Il est relativement facile de comprendre la raison que donne la Tora ( Devarim 25, 6) à l’institution du yibboum (« lévirat ») : Il s’agit d’éviter que le nom du mari défunt soit effacé d’Israël.