Les rigueurs de la justice
Toutefois, en y regardant de
plus près, on pourra s’apercevoir
que dans la conception
de la Torah, ce thème relève
d’une dimension nettement plus
profonde.
Toutefois, en y regardant de
plus près, on pourra s’apercevoir
que dans la conception
de la Torah, ce thème relève
d’une dimension nettement plus
profonde.
De fait, le principe même d’imposer
à l’homme de s’écarter
des risques d’infraction
– comme on le fait par exemple en
s’interdisant le Chabbat de déplacer
les objets dont l’usage est interdit,
relève par définition d’une
forme de barrière – généralement
établie par décret rabbinique. Or
exception à la règle, c’est la Torah
elle-même qui nous enjoint ici non
seulement de ne pas formuler de
mensonges, mais qui plus est de
« fuir » cette pratique.
Prêter, une mitsva révolutionnaire
Par le Rav Eliahou Elkaïm de la yéchiva
L’une des mitsvoth dont parle la paracha de cette semaine attire notre attention sur la Mitsva de prêter de l’argent aux nécessiteux. Un acte bien plus important qu’on ne l’imagine?
« Si tu prêtes de l’argent à quelqu’un de mon peuple, au pauvre qui est avec toi, ne sois point à son égard comme un créancier, n’exige pas de lui des intérêts. » (Exode 22 ; 24).
DétailsPar le Rav Chlomo KEMMOUN
La nuit dit:
לְהַגִּיד בַּבֹּקֶר חַסְדֶּךָ וֶאֱמוּנָתְךָ בַּלֵּילוֹת :
D’annoncer, dès le matin, ta bonté, et ta bienveillance pendant les nuits. (Ps. 92:3)
Si nous avons envisagé le côté positif de la nuit précédemment, ce n’était que dans le cadre de ce qu’elle ajoute au Jour, mais maintenant il nous faut comprendre la nécessité de la nuit en tant que telle!!
DétailsPrès de 250 agressions
antisémites pendant
l’Opération « Plomb durci » !
Le fait qu’un évêque anglais s’affiche
comme « révisionniste », que des
croix gammées aient été peintes à la
station de métro de Golders Green à Londres
avec aussi des tags badigeonnés sur les murs
de la synagogue de Ramford n’a fait que
confirmer cette recrudescence de l’antisémitisme outre-Manche…
DANS LE Traité talmudique
Bétsa (page 25/b),
on peut lire le passage
suivant : « On a enseigné au
nom de rabbi Méïr : ‘Pour
quelle raison la Torah fut-elle
donnée à Israël ? Parce qu’il
est audacieux’. Et dans l’école
de rabbi Ichmaël, il est dit : ‘A
Sa droite, pour eux, une loi de
feu’, (Devarim 33, 2). Le Saint
Béni soit-Il déclara : ‘Ceux-là
sont susceptibles de recevoir
une loi de feu’. D’autres lisent
le verset ainsi : ‘La Loi de ce
peuple, c’est le feu’, et si la
Torah n’avait pas était donnée
à Israël, aucune nation
ni aucune langue n’aurait pu
lui tenir tête. C’est ce que dit
rabbi Chimon ben Lakich :
‘Il y a trois insolents : Israël
parmi les nations, le chien
parmi les animaux, et le coq
parmi les oiseaux (…)’ ».
![]() Eloignement pendant les jours qui précèdent le cycle (Péricha) |
Ce cours est destiné à des personnes mariées.
Un lexique est présenté dans la suite de l’article.
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DétailsParachath Yithro ? La Tora et les autres peuples
Avant de donner la Tora aux enfants d’Israël , Hachem l’a proposée aux autres nations de la terre, et celles-ci l’ont refusée parce qu’elle ne convenait pas à leur tempérament ( ?Avoda zara 2b ; voir aussi Devarim 33, 2). C’est ainsi que les descendants d’Ismaël, dont le destin est de « porter la main contre tous » ( Berèchith 16, 12), n’ont pas pu accepter l’interdiction de voler, et ceux d’Esaü, qui « vivent de leur épée » ( Berèchith 27, 40), ont dû décliner celle de tuer.
En revanche, lorsqu’Il l’a donnée aux Hébreux, ce fut sous la menace : « Si vous acceptez la Tora , ce sera bien ; sinon, là sera votre tombeau ! » ( ?Avoda zara 2b et 3a).
Détails
RAPIDE SURVOL DE LA PRESENCE JUIVE EN TUNISIE :
La présence juive en Tunisie est ancienne sans qu’on puisse la dater exactement. Nous avons des preuves de la présence juive dans la Carthage romaine . Les fouilles entreprises à l’époque du protectorat ont permis de découvrir des vestiges de cette présence juive, tels que la nécropole de Gammarth ou la synagogue de Naro (Hammam-Lif). Le Talmud fait d’ailleurs souvent mention des rabbins de Carthage. On trouve à diverses reprises la mention קרטגגאה à côté du nom d’un rabbin 1 . Mais il est probable que l’implantation des Juifs en Tunisie est bien antérieure à la période romaine. La tradition orale des Juifs de Djerba fait remonter leur présence sur l’île à la destruction du temple de Salomon par Nabuchodonosor en 586, mais rien ne confirme scientifiquement cette tradition.
DétailsUNE COUTUME DU JUDAISME TUNISIEN :
LA « SE’UDAT YITRO » OU « FÊTE DES GARCONS »
A côté des fêtes édictées par la Halakha , les Juifs de Tunisie ont coutume de célébrer chaque année deux fêtes particulières, Rosh Hodesh el Bnat « la fête des filles » (le 8 ème jour de ?Hanouka ) et Se’udat Ytro « la fête des garçons ».
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