Pendant la semaine nationale de l’éducation religieuse, 250 000 écoliers de 3 à 18 ans vont étudier la Thora et la Mishna lors d’une campagne pour la libération de Gilad Shalit. Accompagnés de plusieurs milliers de professeurs et de personnels du monde de l’enseignement, chaque classe d’âge va recevoir un certains nombres de chapitres de Thora ou de la Mishna à étudier durant leur temps libre.
Un « salon funéraire » municipal sera bientôt transformé en lieu funéraire pour les juifs à Moscou et deviendra ainsi le premier du genre dans la capitale russe. Il sera placé sous la responsabilité du rabbinat de Moscou, de la Synagogue Bais Menachem et de la Hevra Kadisha de la ville. La communauté juive a dû se battre toutes ses dernières années pour être sûre que les « salons funéraires » locaux respectent les traditions juives en matière d’enterrement. Ainsi les autorités religieuses ont du continuellement batailler pour éviter les autopsies systématiques ou pour avoir le droit de faire la tahara, toilette des morts, comme le demande la loi juive. Ce lieu situé au coeur de la communauté juive évitera désormais bien des tracasseries administratives avec les quelles les juifs devaient jusqu’ici faire face pour enterrer leur proche. Pour certains, organiser un enterrement était devenu un vrai cauchemar. La plupart des enterrements ont lieu dans le cimetière de Malakhovka, une banlieue de Moscou située à 40 km du centre de la ville.
Il y a quelques jours, l’armée israélienne complétait la première session de formation spéciale destinée aux soldats religieux qui devront petit à petit assumer certaines fonctions tenues jusque là par des jeunes filles. En effet, dans la plupart des unités, il y a un soldat, généralement une fille, formé pour assurer des fonctions de « travailleur social ». Elle s’occupe des questions de bien être des soldats comme par exemple la gestion des permissions, le suivi psychologique de certains. Mais elle est aussi là pour écouter et proposer son aide en cas de problèmes personnels ou liés au service militaire.
Une agression à caractère antisémite a été commise ce 19 mars 2011 à 21h 30 contre la synagogue de Garges Les Gonesse 14 rue Jean Baptiste Corot-Val d'Oise. Selon un témoin et le président de la communauté, alors que la synagogue était pleine d'enfants ,et de fidèles en prières (entre 150 et 200 personnes) samedi soir à l'occasion de la fête de Pourim, un gros pavé de la grosseur de 2 boules de pétanque, a été lancé contre la vitre du haut de ce lieu de culte, provoquant une forte explosion qui a déclenché une peur panique. Cette synagogue a déjà fait l'objet de tir de balles sur ces mêmes vitres les années antérieures. Le BNVCA dénonce l'attaque et appelle la police à diligenter une enquête.
(source Guysen)
Ce sont des manifestations de joie immense qui ont accueilli l’annonce de la naissance de jumelles il y a quelques jours chez le Rabbin Yosef Yoel Kahn et sa femme. Le Rabbin est le fils de l’Admour Toldot Aron, auteur du Divrei Emouna.
Voilà plusieurs années que le rabbin et sa femme prenaient chaque jour à 5 heures du matin le premier bus pour aller prier sur la tombe de Rachel. En effet, après 33 ans de mariage, ils n’avaient toujours pas d’enfant.
Une forte explosion s’est fait entendre dans le commissariat de la police de Jérusalem. On aurait pu croire à une petite bombe. Non seulement, elle a secoué les environs, vibré dans les estomacs, mais elle a aussi fait un trou à travers les vêtements d’une poupée de chiffon représentant un enfant et laissé une large cicatrice noire sur sa jambe. Si la poupée avait été un véritable enfant, il aurait été brûlé au premier degré.
C’est le jour du je9ne d’Esther qui a été choisi par l’organisation de la Coalition Internationale des Droits de la femme Agunah (ICAR) pour marquer un jour spécial pour ces femmes dont on ne parle pas très souvent. Une femme Agunah est une femme dont le mari refuse de donner le get, c'est-à-dire le divorce religieux. Par conséquence, elle ne peut pas se remarier ou avoir des enfants. Si elle le fait toutefois, ses enfants seront considérés comme des mamzerim et ne pourront pas se marier normalement. Batya Kahana-Dror, une des présidentes d’associations présentes dans ICAR explique que Esther symbolise bien les femmes Agunoth. En effet, elle aussi a été prisonnière d’un mariage qu’elle n’avait pas choisi.
Esther Cohen, co-directrice du mouvement loubavitch sur le campus de l’université de Burmingham en Angleterre, a appris le massacre de la famille Fogel à Itamar, par e-mail. Envoyé sur une liste de contacts, ce message a fait tilt. Comme tous ses amis, Esther ne savait pas comment exprimer sa peine et sa colère face à cet événement tragique. Tout ce qu’elle savait c’est qu’il fallait faire quelque chose, un geste, montrer que le peuple juif est uni par delà les frontières. Et il fallait le faire pour le mérite de ces 5 innocents lâchement assassinés et pour montrer sa solidarité avec les 3 orphelins qu’ils ont laissé derrière eux.
Rav Lazar, grand rabbin de Russie a présidé dernièrement une assemblée qui réunissait des rabanim du pays ainsi que des éducateurs et des directeurs d’écoles. A l’ordre du jour : internet et ses dangers. Le rav Lazar leur a présenté la société « Rimon et Ethrog » qui propose des solutions de contrôle d’accès sur internet. Cette société est déjà bien implantée et connue en Israël et a préparé un système similaire pour le public juif russe. Les participants à la réunion se sont montrés très intéressés par le système. En effet, en Russie comme ailleurs dans le monde occidental, internet occupe une place centrale dans la vie des gens, ce qui pose certains problèmes et notamment parmi la population la plus jeune.
Début février a été inauguré un musée consacré à la mémoire des juifs macédoniens victimes des nazis pendant la Seconde Guerre Mondiale. Il a ouvert ses portes dans la capitale, à Skopje. La cérémonie d’inauguration à été marquée par le dépôt de trois urnes contenant les cendres de juifs macédoniens tués dans le camp de concentration de Treblinka en Pologne. On estime qu’un peu plus de 7 000 y avaient été déportés en 1943. Les urnes ont été portées par des soldats macédoniens à travers les rues de la capitale, suivies de plusieurs centaines de personnes.
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