L’art de l’illusion
La Torah nous enseigne qu’« Its’hak aimait Essav parce qu’il était chasseur avec sa bouche [Ki Tsaïd béPiv] », (Béréchit 25, 28). Mais du fait que le Midrach nous invite à considérer cette précision au sens figuré,
La Torah nous enseigne qu’« Its’hak aimait Essav parce qu’il était chasseur avec sa bouche [Ki Tsaïd béPiv] », (Béréchit 25, 28). Mais du fait que le Midrach nous invite à considérer cette précision au sens figuré,
La paracha Toldot se conclut sur ces mots : « Essav vit que les filles de Canaan étaient mauvaises aux yeux de son père. Il se rendit alors vers Ichmaël et prit pour femme Ma’halat, fille d’Ichmaël, fils d’Avraham, sœur de Nevayots, en plus de ses premières femmes » (Béréchit 28, 8-9). Elle lui enfantera un fils du nom de Réouel, lui-même père de quatre enfants parmi les chefs de familles, descendants d’Essav, mentionnés à la fin de la Paracha Vaychla’h…
Cette semaine, nous assistons à la venue au monde de Yaacov et d’Essav. Nous les suivons jusqu’à la fuite de Yaacov vers ‘Haran, sur les ordres de ses parents, Isaac et Rivka, qui lui enjoignirent de quitter la terre de Canaan.
Texte tiré de l’ouvrage Sihot Moussar du Rav Haïm Chmoulevitz
Adaptation en français par le Professeur F.H Lumbroso
Éditions Olam Hassefer
A l’occasion de la paracha « Vayéra », nous avions évoqué l’ambiguïté délibérée avec laquelle notre tradition nous a semblé aborder la figure emblématique d’Ichmaël. Nous voudrions cette fois-ci, alors que nous lisons les premiers versets décrivant la personnalité d’Essav, nous arrêter sur un paradoxe qui, à notre avis, définit au mieux l’une des facettes de la personnalité du frère jumeau de notre ancêtre Yaakov.
En raison de la famine qui sévit en terre de Canaan, Its’hak s’installe dans la terre des Philistins, gouverné par le roi Avimélekh. Sur place, ses biens commencent à prospérer, son bétail se multiplie et ses récoltes sont si abondantes qu’elles suscitent la jalousie des Philistins.
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Dans ce cours, le Rav Dov Roth-Lumbroso va nous expliquer pourquoi dans l’épreuve de la aqueda d’Its’hak, Avraham en est ressorti vainqueur alors que Sarah en est morte.
La Haftara de cette semaine nous décrit les dernières années du roi David en débutant par le premier verset du Livre des Rois : « Le roi David était vieux, chargé de jours (…) ». Or, cette expression est précisément celle que l’on retrouve dans notre paracha concernant Avraham : « Et Avraham était vieux, chargé de jours ».
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Cours vidéo du Rav Dov Roth-Lumbroso sur la Paracha Haye Sarah, qui nous donne un aperçu de la femme vertueuse selon la Torah
La parachath ‘Haye Sara commence par le récit des négociations qu’a menées Abraham en vue de l’acquisition de la caverne de Makhpéla, dont il voulait faire le lieu de sépulture de Sara.