Le geste désespéré de Moché Sliman, qui s’est immolé par le feu samedi soir à Tel Aviv lors d’une manifestation, a bien entendu suscité une vive émotion en Israël. Mais cet acte commis par un homme dont la situation financière était catastrophique ne doit en aucun cas servir d’exemple.
On vient de commémorer en France le 70e anniversaire de la sinistre rafle du Vel’ d’Hiv au cours de laquelle 13 152 Juifs ont été arrêtés puis envoyés vers les camps de la mort. La cérémonie a eu lieu à la cité de la Muette, à Drancy, où se trouvait pendant la guerre le camp d'internement d'où furent déportés 73 000 Juifs, dans 62 convois, vers Auschwitz.
Des milliers de personnes sont venues se recueillir sur la tombe du Rav Elazar Abouhatsira zts’l, sur le mont des Oliviers (Har Hazeitim), à l’occasion du premier anniversaire de son décès. Rabbi Elazar était un grand tsadik issu d’une longue lignée de Rabbanim.
Répondre par l’étude aux décisions gouvernementales visant à imposer le service militaire aux Bahourei Yechiva, c’est ce que propose le Rav Steinman.
Dans les commémorations de la Shoah, il est de notre devoir de nous souvenir des « héros ordinaires », ces gens qui ont sauvé des Juifs au péril de leur vie sans que personne ne soit venu par la suite les remercier.
La famille Techouva, originaire de Libye, n’a jamais oublié le sort tragique du Rav Yossef Techouva, sauvagement assassiné par des Arabes à Tripoli en 1948.
Un criminel nazi, coupable du meurtre de 15 700 Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale, aurait été retrouvé à Budapest.
Le Rav Eliachiv, gravement malade, est hospitalisé depuis plusieurs mois à l’hôpital Chaarei Tsédek de Jérusalem.
Dans son entourage, on confirme que son état de santé s’est dégradé ce matin et on demande que des prières soient récitées pour le prompt rétablissement du Rav Yossef Chalom ben Haya Moucha. Refoua chelemah !
C’est une histoire très touchante que nous conte l’AFP, sur des Berlinois qui ont tenu à connaître le destin des Juifs qui vivaient dans leur immeuble pendant la Seconde Guerre mondiale et en ont été chassés pour être déportés dans des camps.
Trois fois des triplés dans le même hôpital ! Cela n’arrive pas tous les jours. C’est pourtant ce qu’a connu cette semaine la maternité de l’hôpital Rambam de Haïfa, semant la joie et l’émotion dans tout le département.
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