La mise en boite de Dina
Parachat Vayichlah
La progression positive de notre histoire est elle compatible avec la perte de spiritualité ?
En quoi l’histoire de cette Paracha nous concerne t-elle encore aujourd’hui ?
Cours de Rav Rozenberg sur les parachiot
Vayichla’h – « Je suis trop petit pour Tes bienfaits »
Dans son introduction à cette paracha, le Ramban écrit que nos Sages l’ont toujours considérée comme une préfiguration des futures expériences des Juifs dans l’exil.
L’avant-dernier verset de cette haftara nous promet que « les exilés de cette armée des enfants d’Israël [posséderont] ce qui appartenait aux Cananéens jusqu’à Tsarfath, et les captifs de Jérusalem, qui [avaient été] à Sefarad, posséderont les villes du midi » ( Ovadia 1, 21) .
Texte tiré de l’ouvrage Sihot Moussar du Rav Haïm Chmoulevitz, Adaptation en français par le Professeur F.H Lumbroso
Les commentateurs s’interrogent sur la répétition que contient ce verset : étant donné que Ya’aqov n’avait qu’un seul frère, pour quelle raison précisa-t-il dans sa prière « de la main de ‘Essav » après avoir déjà déclaré « de la main de mon frère » ?