Paracha Emor – La période du Omer et Lag Baomer, par le Rav Dov Roth-Lumbroso
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« Vous serez saints! » (19, 2) Pour le Ramban, nous ne pouvons respecter dûment cette injonction en nous préservant simplement des relations illicites énumérées dans la section précédente, contrairement à ce que semble indiquer Rachi. Il faut, pour se «sanctifier» véritablement, s’imposer consciemment et volontairement des limites, et adopter un style de vie décrit par les Sages du Talmud comme la perichouth, littéralement: «séparation».
[youtube id= »zo9c7T6pbaA » width= »358″ height= »202″ autoplay= »no » api_params= »rel=0&modestbranding=1″ class= » »][/youtube] Cours de Rav Daniel Abdelhak, Parachat Emor.
La parachath Emor commence par le verset : « Hachem dit à Moïse : Parle aux kohanim , fils d’Aaron, et tu leur diras : Pour une âme [c’est-à-dire pour un mort], il ne se rendra pas impur dans ses peuples » ( Wayiqra 21, 1). Pourquoi cet ordre de Hachem s’adresse-t-il aux « kohanim , fils d’Aaron », et non à Aaron lui-même ?
La première partie de cette paracha traite successivement (Wayiqra 6, 2 ; 6, 7 et 6, 18) de « la loi de l’holocauste » (תורת העלה), de « la loi de l’oblation » (תורת המנחה) et de « la loi de l’expiatoire » (תורת החטאת).
Cours de Paracha donné en 5767 – Par Rav Rozenberg Zal
Au fil des lois sur les sacrifices, la Torah souligne à plusieurs reprises le devoir de chacun de ne pas priver autrui de ses biens, de quelque manière que ce soit.
Plus loin dans notre paracha, nous pouvons également lire : « Il ôtera le jabot avec les plumes », (1, 16), verset que Rachi commente en ces termes :
Le verset par lequel débute notre paracha se traduit textuellement ainsi : « Il appela Moché et l’Eternel lui parla de la Tente d’assignation en ces termes » (Vaykra 1,1). Qui appela donc Moché ? Personne ne le dit…
Les sacrifices se divisent en trois catégories générales : les sacrifices de bêtes – gros ou menu bétail –, les sacrifices de volailles, et les ména’hot qui englobent à la fois les oblations (offrandes à base de farines) et les libations (à base de liquides, généralement du vin).
À travers les Livres de Béréchit et Chémot, la Torah relate notre propre histoire et nous enseigne l’observance des mitsvot.
Or, le ‘Houmach Vayikra nous décrit quant à lui les diverses voies que la Torah ouvertes à ceux qui aspirent à s’élever au plan spirituel…