La Ménorah
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Cours vidéo : Behalothekha – La menorah par le Rav Dov Roth-Lumbroso
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Cours vidéo : Behalothekha – La menorah par le Rav Dov Roth-Lumbroso
A la fin de Béhaalotekha, la Torah relate l’épisode où Myriam prononça des paroles sévères à l’encontre de Moché, son jeune frère. En conséquence de quoi elle fut frappée de tsaraat, cette forme de lèpre biblique. De nombreuses leçons se dégagent de cet épisode.
On peut lire dans le Midrach : « Le Saint béni soit-Il dit à l’homme : Ta bougie est entre Mes mains, et Ma bougie est entre les tiennes. Il est écrit d’une part : ‘La bougie de l’Eternel, c’est l’âme de l’homme’ (Proverbes 20) et d’autre part : ‘Pour y élever une bougie en permanence’ (Vaykra 24, 2). D.ieu dit : Si vous allumez Ma bougie, J’allumerai Moi aussi la vôtre. »
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Cours vidéo du Rav Dov Roth-Lumbroso sur la Parachat Beahalotekha, qui présente un exrait intéressant de 2 versets entourés par la lettre Noun. Un mystère à résoudre…
La paracha de cette semaine parle du nazir , cet homme dont le voeu engage à se priver de vin et à ne pas se couper les cheveux. La Thora le considère comme un homme saint, et par ailleurs, le voit comme un fauteur. Comment comprendre cette apparente contradiction?
Samson est caractérisé par une personnalité complexe. La tradition talmudique lui reproche d’avoir « suivi les désirs de ses yeux » (Sota 9b), en d’autres termes de s’être laissé guider par ses inclinations les plus sensuelles, notamment dans le choix de ses épouses, raison pour laquelle il a été puni par Hachem. Mais elle lui sait gré, en même temps, d’avoir œuvré pour la punition des ennemis d’Israël, puisqu’il s’est sacrifié en abattant sur eux les murs de leur Temple et pour avoir ainsi « fait mourir dans sa mort plus de Philistins qu’il en avait fait mourir pendant sa vie » (Juges 16, 30).
Le début de la paracha de Nasso est en vérité la continuité de la précédente, Bamidbar. Dans les derniers versets de celle-ci, D.ieu ordonna de recenser la première famille issue de Lévi, à savoir celle de Kéhat : « Qu’on fasse le relevé des têtes des enfants de Kéhat, selon leurs familles par maisons paternelles… »
Le Midrach rapporte que le mont Sinaï fut choisi parmi d’autres montagnes bien plus impressionnantes précisément en vertu de sa modestie, car la Torah ne peut se révéler et exister que dans l’humilité.
Livre de Bamidbar évoque la traversée du désert avec tous les incidents et révoltes ayant émaillé cette longue période de 40 années…
Dans l’un des passages de ce 4e Livre, nous trouvons quelque chose de particulièrement étonnant : le fait qu’il y ait soudain dans le texte biblique deux versets isolés de tous les autres grâce à deux lettres « noun » (נ ) renversées l’une au début et l’autre la fin de ce passage, comme s’il s’agissait là d’une parenthèse.
Lorsque les kohanim récitent la bénédiction sacerdotale (Bamidbar 6, 23 et suivants), ils doivent obligatoirement être déchaussés (Choul‘han ‘aroukh Ora‘h ‘hayyim 128, 5).