La sortie d’Egypte en Chevat – par Rav David Breisacher
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La sortie d’Egypte en Chevat
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La sortie d’Egypte en Chevat
Il est écrit dans notre paracha que « lorsqu’un homme vole un bœuf ou un mouton, il devra payer cinq pièces de gros bétail à la place du bœuf et quatre moutons à la place du mouton » (Chemoth 21, 37).
« Si tu vois l’âne de celui qui te hait succomber sous sa charge, garde toi de l’abandonner ; aide-lui au contraire à le décharger » ( Chemoth 23, 5).
La paracha Michpatim nous enseigne ce que doit être notre approche de l’argent. En effet, il faut savoir comment considérer la fortune et les biens matériels.
Quelle est donc la manière de considérer l’argent prônée par la Torah ?
Texte tiré de l’ouvrage Sihot Moussar du Rav Haïm Chmoulevitz
Adaptation en français par le Professeur F.H Lumbroso
Éditions Olam Hassefer
Il est écrit que l’on doit décider selon la majorité (Chemoth 23, 2). Ne devrions-nous pas, à ce compte-là, nous qui sommes une infime minorité, nous plier à la majorité, celle des peuples du monde ?
Parmi les nombreuses lois énumérées dans la parachath Michpatim , il en est une qui paraît singulière, ou du moins anormalement rédigée : « Une sorcière, tu ne la laisseras pas vivre » ( Chemoth 22, 17). Pourquoi « une sorcière », et non « un sorcier » ?
Voici une histoire que illustre comment tout ce que l’on gagne par le mensonge ne porte pas chance, car on finit très rapidement par le perdre…
Les premiers versets de la parachath Michpatim instituent un système d’« esclavage » totalement révolutionnaire par rapport aux autres législations en honneur dans l’Antiquité, système qui le fait ressembler davantage à un « contrat de travail à durée déterminée » qu’à une véritable servitude.
Il est écrit dans notre paracha que « lorsqu’un homme vole un bœuf ou un mouton, il devra payer cinq pièces de gros bétail à la place du bœuf et quatre moutons à la place du mouton » (Chemoth 21, 37).
Explication de Rachi : Le voleur n’a pas eu à se baisser pour le bœuf, tandis qu’il a dû se baisser pour le mouton. Et comme il s’est humilié en se baissant, sa peine est moins lourde.
N’est-il pas étrange que la Tora prenne tellement soin de préserver la dignité du voleur ?