Cours Vidéo : Paracha Chemini par le Rav Rozenberg Zal
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Cours Vidéo : Paracha Chemini par le Rav Rozenberg Zal
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Cours Vidéo : Paracha Chemini par le Rav Rozenberg Zal
Le mot Tsaw, commente Rachi, implique toujours une idée de zèle. Cela signifie que Aharon a été exhorté à agir immédiatement.
Dans un autre contexte, observe le ‘Hanoukath ha-Bayith, le Talmud (Qiddouchin 31a) nous enseigne : « Celui qui accomplit une mitswa pour en avoir reçu l’ordre est plus digne que celui qui l’effectue sans y être astreint. »
Texte tiré de l’ouvrage Sihot Moussar du Rav Haïm Chmoulevitz
Adaptation en français par le Professeur F.H. Lumbroso. Éditions Olam Hassefer.
Un célèbre adage de la tradition juive invite à entreprendre l’étude des Cinq Livres de la Torah pour un petit enfant lorsqu’il approche de l’âge de 5 ans, en commençant par le livre de Vayikra.
La Paracha Vayikra (1, 1) s’ouvre sur ces mots : « Il appela Moché et D.ieu lui parla de la tente d’assignation pour lui dire ». Commentant ce verset, le Midrach (Torat Cohanim, 1, 4) enseigne : « ‘De la tente d’assignation’ : cela nous apprend que le son de la voix s’arrêtait et ne sortait pas en dehors de la tente. Est-ce parce que le son de la voix était faible ? Non, car le verset précise : ‘La voix’, (Bamidbar, 7). Or, de quelle voix s’agit-il ?
La Paracha Vaykra en pdf avec Texte hébreu/araméen de Rachi et Onkelos et la traduction en français ! Edition Edmond J Safra.
Comme nous l’annoncions dans Tetsavé, complétons pour cette semaine l’étude sur les habits du Cohen Gadol, en expliquant la corrélation entre les vêtements et les fautes qu’ils expient.
Le Cohen Gadol porte au-dessus de son front le Tsits –une petite plaque en or– sur lequel sont gravés les mots Kodesh laShem – sanctifié pour Hashem – afin de raviver en chaque juif cette conviction : ‘Je suis entièrement voué à Hashem, et Sa volonté est l’essence et l’intention primaire de toutes mes pensées !’ Quoi de plus évident que ce Tsits expie alors le vilain défaut de l’effronterie utilisé dans un mauvais contexte !
La paracha nous apprend, à propos de la plaque ( tsits ) dont était revêtue la tiare du kohen gadol : « Ils firent la plaque, diadème de la sainteté d'or pur, et ils écrivirent sur elle une écriture en gravures de cachet : ?Sainteté pour Hachem ? » ( Chemoth 39, 40). Pourquoi est-il écrit : « ils écrivirent », au pluriel, alors qu'il aurait été plus logique d'employer le singulier : « il écrivit » ?
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Dans ce cours sur la paracha Vayakel, le Rav Dov Roth-Lumbroso revient sur la construction du Mishkan et met en parallèle le chabat, la faute du veau d’or et le tabernacle. Quelle leçon doit-on en tirer pour notre génération ?
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