Chavouot, une fête fleurie
Parmi les coutumes qui entourent la célébration de la fête de Chavouot, il convient de citer celle qui consiste à décorer nos maisons et les synagogues avec des arrangements floraux et des arbustes.
Parmi les coutumes qui entourent la célébration de la fête de Chavouot, il convient de citer celle qui consiste à décorer nos maisons et les synagogues avec des arrangements floraux et des arbustes.
L’une des particularités de la fête de Chavouot est précisément l’absence de mitsva particulière. En revanche, cette fête regorge d’usages et de coutumes, aux origines toujours très intéressantes…
En reliant différents aspects spécifiques à Chavouot, on s’aperçoit que beaucoup tendent vers une même idée, qui met en relief l’une des vertus essentielles de la Torah.
Le Chla Hakadoch (Rav Yéchaya Halévy Horovitz), qui a vécu au XVIIe siècle, a institué une prière qu’il est recommandé de réciter tout particulièrement la veille du Roch Hodech Sivan. Mais elle peut être dite tout au long de l’année.
La Tefilat Hachla est tirée de son livre Louh’oth Habrith, Massehet Tamid, à la fin du chapitre Ner Mitsva, dans lequel l’auteur aborde le thème de la prière.
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Chavouot, par le Rav Dov Roth-Lumbroso
La période de Pessa’h à Chavou‘oth constitue sous certains aspects une seule et même fête, au fil de laquelle, affranchis de l’esclavage considéré sous toutes ses facettes, nous nous préparons fébrilement à recevoir la Tora, qui nous permettra de canaliser et d’exploiter à bon escient notre liberté recouvrée.
Si la Torah souligne avec tant d’insistance que le désert fut le lieu d’accueil des enfants d’Israël après la sortie d’Egypte et l’endroit choisi pour donner la Torah, ce n’est certainement pas fortuit. Le désert constitue en effet l’une des dimensions propres à la Torah…
En ordonnant à Moïse de procéder à un recensement des enfants d’Israël,Hachem lui demande de compter les hommes à partir de vingt ans(Bamidbar 1, 3).
Une question cependant se pose : comment se fait-il que les hommes ne soient comptés qu’à partir de l’âge de vingt ans, alors que la majorité individuelle est atteinte à treize ans ?
La parachath Bamidbar commence par l’ordre donné par Hachem aux enfants d’Israël de procéder à un recensement.
Ce n’est pas la première fois qu’il est mentionné une telle opération dans la Tora .
À Chavouot, nous avons reçu la Torah qui nous permet d’accéder, grâce à l’accomplissement des mitsvot, au olam haba, au monde futur. De nombreuses histoires relatent l’abnégation de certains tsaddikim qui étaient prêts à renoncer à leur monde futur pour le bien d’autrui. La parabole suivante traite d’un cas un légèrement différent…
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