VAYICHLA’H : Religion : que de crimes on commet en ton nom



Parachath Vayichla’h– « Religion, que de crimes on
commet en ton nom »

L’histoire a connu de multiples guerres de religion, et nous assistons
actuellement à travers le monde à l’exacerbation d’un
fanatisme religieux, plus porté que jamais aux pires violences ad majorem
Dei gloriam. L’amour de Dieu est devenu chez les hommes une incitation
aux plus terribles des déchaînements.

A considérer notre propre histoire, elle ne nous a pas toujours soustraits
à la tentation de la violence homicide au nom d’une spiritualité
mal comprise.

Fixer un lieu pour la priere

La relation formidable qui se créé par la prière entre l’homme et son Créateur est souvent évoquée dans les écrits de nos Sages. Tant et si bien qu’ils purent même déclarer : « Pourquoi nos Pères étaient-ils stériles ? Parce que le Saint Béni soit-Il souhaite ardemment entendre leurs prières »

Dieudonné en Iran



Dieudonné en Iran

Réalité ou canular douteux ?
En tout cas, si la rencontre
entre Dieudonné M’Bala
M’Bala et le président iranien
Mahmoud Ahmadinejad a bien
eu lieu, elle ne surprendrait personne,
tant ces deux personnages
sont sur la même ligne. Dans un
récent communiqué de presse, le
Parti antisioniste affirme en effet
que « durant un séjour en République
Islamique d’Iran », l’humoriste
condamné pour antisémitisme, a
été reçu par Mahmoud Ahmadinejad.
« L’entretien a duré une heure.
Détendu et amical, celui-ci a permis
d’aborder de nombreux sujets
entre autres, le sionisme », précise
le communiqué.

Devinette :Deux fois une même ‘halitsa

Question de la semaine derniére:

Question : Il existe un verset dans le Tanakh où cinq mots consécutifs portent le même signe de cantillation. Lequel ?

Réponse : « Ce fut (mouna‘h), en la quatre-vingtième (mouna‘h), année (mouna‘h), et quatre (mouna‘h), cent (mouna‘h), année de la sortie des enfants d’Israël du pays d’Egypte… » (I Rois 6, 1 – Haftara de la parachath Terouma), soit cinq mots consécutifs marqués du signemouna‘h.

Autre bonne réponse : « Et avec eux les lewiim, Chema’yahou (pazèr), et Netanyahou (pazèr), et Zebadyahou (pazèr), et ‘Assaël (pazèr), et Chemiramoth (pazèr), et Jonathan, et Adoniya, et Toviya, et Tov-Adoniya, les lewiim; et avec eux Elichama’ et Joram, les kohanim » (II Chroniques 17, 8), soit cinq mots consécutifs marqués du signe pazèr.

 

Question : Dans quel cas deux procédures de ‘halitsa sont-elles nécessaires pour une femme veuve du même homme ?

 

Jacques KOHN.

Réponse la semaine prochaine !!!

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Quand l’évêque de Metz s’en prend au grand Rabbin Fiszon



Quand l’évêque de Metz
s’en prend au grand rabbin Fiszon

Selon Mgr Pierre Raffin, le conflit israélo-palestinien et le soutien
inconditionnel du grand rabbin de Metz, Bruno Fiszon, à Israël
empêcheraient tout dialogue avec la communauté juive. Des déclarations
publiques qui suscitent une vive polémique dans la capitale de la Lorraine.
Le dialogue interconfessionnel
a pris du plomb dans l’aile
à Metz. En cause, les critiques
formulées par l’évêque de la
ville, Mgr Pierre Raffin, dans une
interview accordée au Républicain
Lorrain, à l’adresse de la communauté
juive et de son chef spirituel,
le grand rabbin Bruno Fiszon. Ce
qui a entraîné une mise au point,
ferme mais cinglante de ce dernier
dans le même quotidien régional.
Des tensions qui dépassent
le simple cadre religieux, dans un
département – la Moselle – où le
régime concordataire donne aux
responsabilités religieuses, un statut
officiel.

Un sefer Torah pour le Havre



Un Séfer Torah pour le Havre

Voilà plusieurs décennies
qu’aucun Séfer Torah
n’avait été inauguré dans
le port normand. C’est donc chose
faite… Et selon le président de la
communauté locale, « c’est là un
signe d’optimisme, garant de la
transmission ! »
Victor Elgressy avait dix ans
lorsqu’il est arrivé au Havre en
1967. Depuis, il y a fait sa vie, devenant
– entre autres – président
de la petite communauté juive du
grand port normand. Or jamais
depuis ces quarante et quelques
années, il n’avait assisté à l’inauguration
d’un Séfer Torah dans la
synagogue locale…

Savoir éduquer son enfant à l’aune de sa personnalité



Savoir éduquer l’enfant à l’aune de sa propre personnalité !

Dans le Midrach (Béréchit Rabba 1, 1), nos Sages assimilent le pédagogue à un artisan, laissant ainsi transparaître la haute
estime qu’ils ont du rôle de l’éducateur. Et de fait, en matière d’éducation, il convient de s’armer de beaucoup de sagesse et de
perspicacité pour mener à bien sa mission.

Qu’est-ce qui caractérise l’oeuvre
d’un artisan, et qui
la distingue d’un produit
de fabrication simple ? C’est que
contrairement à un fabricant, qui
ne fait que reproduire un modèle
préétabli, l’artisan considère chacun
de ses ouvrages comme une
production unique et inimitable.
Pour ce faire, il donne forme à
son oeuvre en y impliquant tout
son être, de sorte à en dégager les
meilleurs atouts. Par conséquent,
si le pédagogue veut, à l’image de
l’artisan, être à la hauteur de sa
vocation, il doit accorder à chaque
perle qui lui est confiée une
attention exclusive, et écarter
toute généralisation importune.