Découvrez les dernières réponses de nos Rabanim sur Techouvot.com sur tous les sujets du judaïsme !! Sfirat Haomer, peut-on la faire 2 fois, une avant et une après la tombée de a nuit ? / parnassa, et être « somekh al haness » /
koulo kodesh, comment savoir? changer de derekh limoud
Soit un enfant qui commence à apprendre à lire l’hébreu. Il connaît toutes les lettres de l’alphabet, mais non les voyelles, et il ne sait pas où commencent et où finissent les mots.
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Le mois de iyar est le huitième à partir de tichri, et le deuxième dans l’ordre de la Tora.Le livre des Rois l’appelle ziv (I Rois 6, 1 et 6, 37), ou « éclat », car il est le moment où les arbres resplendissent de tout leur « éclat » (Rachi et Radaq).
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Envie de changement…?
Voici une délicieuse recette de petites Hallot à l’ail !!
Dans quel cas remplace-t-on, sans qu’il y ait eu faute de sa part, un chalia‘h tsibbour pendant la répétition de la ‘amida ?
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Régalez vous avec cette recette de Rogaleh facile à faire. Vous n’avez même pas besoin de sortir votre robot, tout à la main dans un seul sac!!
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Le Tour enseigne : « Il est de coutume de ne pas se marier entre Pessa’h et Atsérèt [Chavouot]. La raison en est qu’on ne multiplie pas les manifestations de joie, car c’est pendant cette période que décédèrent les élèves de rabbi Akiva » (Ora’h ‘Haïm, 493). Une décision halakhique tirant son origine d’un passage du Traité talmudique Yévamot (p.62/b) où il est enseigné que rabbi Akiva avait 24 000 élèves qui, tous, moururent pendant une seule et même période (béPérèk é’had), parce que, explique la Guémara : « ils ne s’étaient pas comportés avec "respect" les uns envers les autres – lo nahagou kevod zé lazé ».
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Soit trois triplés, nés dans la même demi-heure. Bien qu’ils soient en parfaite santé, leur berith mila aura lieu en trois jours différents. Comment cela se peut-il ?
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La parachath Emor contient, entre autres mitswoth, celle de la supputation du ‘Omèr : « Vous compterez pour vous, du lendemain du chabbath… »(Wayiqra 23, 15). Pourquoi, s’agissant d’une mitswa qui se renouvelle chaque année, ne récitons-nous pas la berakha Chéhé‘héyanou ?
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