Nos véritables racines

Dans cette haftara, le prophète Jérémie compare celui qui a foi en Hachem à celui qui ne met sa confiance que dans l’homme. Tandis que le premier est comme un arbre planté près des eaux, dont le feuillage est toujours vert, et qui continuera, même pendant les sécheresses, de porter ses fruits, le second sera comme arbrisseau dans le désert, voué à la stérilité (Jérémie 17, 5 à 8).

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La parabole de la semaine: Bé’houkotai

« Si dans Mes statuts vous marchez, si vous gardez Mes préceptes et les exécutez… » (Vaykra 26, 3)
Rachi explique : « Si dans mes statuts vous marchez », donnez-vous de la peine dans l’étude de la Torah !
Rabbi ‘Haïm ben Attar, dans son commentaire sur la Torah, explique avec quarante-deux variantes la signification de « marcher dans les statuts ».

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Les « malédictions »

On appelle tokhe‘hoth (« avertissements »), ou kelaloth (« malédictions » dans le langage de la Michna [Meguila 3, 6]), les passages dans lesquels Moïse a mis en garde les enfants d’Israël en leur annonçant les malheurs auxquels ils s’exposeront s’ils n’observent pas scrupuleusement la Tora.

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L’immense potentiel spirituel de la période de l’Omer

La période qui sépare la fête de Pessa’h de celle de Chavouot – appelée période du compte de l’Omer – constitue d’abord un long moment de 32 jours de deuil correspondant aux décès en série des 24 000 élèves du célèbre Rabbi Akiva.

Mais c’est surtout le tremplin pour transformer la Sortie d’Égypte, commémorée à Pessa’h, en apprentissage des qualités et des midot nous préparant à faire nôtre la véritable liberté en recevant à Chavouot la Torah donnée au mont Sinaï après le 49e jour de ce compte.

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