Devinette : Trois cents animaux

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Question précédente :  Reouven et Chim‘on sont chacun l’heureux papa d’un fils premier-né. Ces enfants remplissent toutes les conditions requises pour être rachetés. Les deux cérémonies de rachat se passent normalement, mais le beith din découvre, peu de temps après, des défauts chez les deux kohanim qui ont accompli ces rachats et il les destitue de leur dignité. Alors que les défauts qui les invalidaient existaient déjà du temps des cérémonies, Reouven doit refaire son rachat, mais non Chim‘on. Pourquoi ?

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Devinette : A refaire !

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Question précédente  : Quel rôle un Beith hamidrach peut-il, dans son environnement immédiat, jouer à la campagne ?

Réponse : Il est interdit, en principe, de commencer de récolter dans un champ avant le lendemain de Pessa‘h et la cérémonie du ‘Omer.

Si cependant un Beith hamidrach est situé en bordure d’un champ et si l’on a besoin de dégager de l’espace pour que les élèves puissent avoir de la place pour étudier, il est alors permis de récolter dans ce champ pour étendre la surface occupée par ce lieu d’étude (Mena‘hoth 71a).

(Devinette proposée par Bernard K.)

 

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Clips de Mordechai ben David qui sera présent à Paris pour notre Diner concert

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Pessa’h Cheni ou la conquête de soi

6 Pessah
Nous commémorons cette semaine le « Pessa’h Chéni ». Bien que ce jour ne constitue pas une fête à proprement parler, le 14 Iyar comporte pourtant une signification majeure souvent méconnue ! Même si le 14 Iyar n’est ni une fête ni un jour férié, l’habitude a pourtant été prise de célébrer ce jour en souvenir de l’agneau pascal qui était offert au Temple par tous ceux qui n’avaient pas eu la possibilité de le faire le 14 Nissan.

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Le grand rabbin de France à Vichy

Histoire et patrimoine

Pour la première fois en 70 ans, un grand rabbin de France s’est rendu à Vichy, capitale du régime collaborationniste du maréchal Pétain. Ce dimanche, Journée des déportés, Gilles Bernheim a rendu hommage aux Français ayant caché des juifs pendant la Seconde Guerre mondiale.

C’est une visite à très haute portée symbolique. Pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale, un grand rabbin de France est allé se recueillir à Vichy, qui devint en 1940 la capitale de l’Etat français du maréchal Pétain.

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Orgue et bima

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Orgue et bima

Le drame qui vient de frapper douloureusement une communauté de la province française, dont la synagogue a été partiellement détruite par un incendie qui s’est déclaré à la suite, semble-t-il, d’un court-circuit dans la soufflerie de l’orgue, nous fournit l’occasion de revenir sur un point d’histoire,  à savoir la fatalité qu’ont constitué, au dix-neuvième siècle, l’introduction dans certaines synagogues de l’orgue et le déplacement de la bima, l’estrade où est lue la Tora, également appelée almémor ou téva.

C’est en 1810 qu’a été installé pour la première fois, à Seesen (Basse-Saxe, Allemagne), un orgue dans une synagogue, soit plus de trente ans avant les synodes des rabbins libéraux qui se sont tenus à Braunschweig en 1844, à Francfort en 1845, et à Breslau en 1846, au cours desquels a été signé l’acte de naissance du judaïsme réformé allemand.

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