Amalek à en perdre la tête…

Dans la bouche de Bilaam, le prophète de mauvais augure délégué par le roi Balak, la nation d’Amalek est qualifiée en ces termes: « Amalek est à la tête des peuples». Or, cette désignation de « Réchit » – qui évoque à la fois la tête, le commencement et l’éminence d’un peuple – s’avère être le caractère propre d’Amalek et précisément ce qui le conduit tout droit à sa perte…

Des affaires de famille…

S’il est vrai que les chiv‘a de-ne‘hmatha , ces sept haftaroth qui sont récitées après le jeûne du 9 av , sont généralement sans rapport avec les parachiyoth auxquelles elles sont associées, on peut remarquer que celle de la parachath Ki tètsè , en seulement dix versets, offre de nombreuses analogies avec celle qu’elle accompagne.

Mettre Hachem à l’épreuve

« Vous ne mettrez pas à l’épreuve Hachem, votre Dieu (לא תנסו את ה’), comme vous L’avez mis à l’épreuve à Massa » (Devarim 6, 16).
Ce verset semble être contredit par : « Apportez toutes les dîmes à la maison du trésor, afin qu’il y ait de la nourriture dans Ma maison, et veuillez M’éprouver par ce moyen (ובחנוני נא בזאת), dit Hachem des armées… » (Malachie 3, 10).

Séfèr Choftim II (le livre des juges 2)

Le Séfer Choftim est traversé par deux idées maîtresses :
– Les conséquences catastrophiques de maintien en Terre promise, au moment de sa conquête, de populations indigènes d’origine cananéenne.
– Le comportement répétitif des enfants d’Israël consistant, tout au long de cette période, à rejeter Hachem et à s’adonner à l’idolâtrie.