Paracha Pekoudei

Le Cohen Gadol porte au-dessus de son front le Tsits –une petite plaque en or– sur lequel sont gravés les mots Kodesh laShem – sanctifié pour Hashem – afin de raviver en chaque juif cette conviction : ‘Je suis entièrement voué à Hashem, et Sa volonté est l’essence et l’intention primaire de toutes mes pensées !’ Quoi de plus évident que ce Tsits expie alors le vilain défaut de l’effronterie utilisé dans un mauvais contexte !

Parachath Peqoudei – A propos de la « plaque »

La paracha nous apprend, à propos de la plaque ( tsits ) dont était revêtue la tiare du kohen gadol : « Ils firent la plaque, diadème de la sainteté d'or pur, et ils écrivirent sur elle une écriture en gravures de cachet : ?Sainteté pour Hachem ? » ( Chemoth 39, 40). Pourquoi est-il écrit : « ils écrivirent », au pluriel, alors qu'il aurait été plus logique d'employer le singulier : « il écrivit » ?

Vayakel – Le rassemblement qui pardonne, par le Rav Dov Roth-Lumbroso

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Dans ce cours sur la paracha Vayakel, le Rav Dov Roth-Lumbroso revient sur la construction du Mishkan et met en parallèle le chabat, la faute du veau d’or et le tabernacle. Quelle leçon doit-on en tirer pour notre génération ?

A vouloir raccourcir

C’est dans la paracha Vayakel que sont énumérés les dons de tous les matériaux et matières premières offerts pour l’édification du Tabernacle. Y figurent notamment les douze pierres du Pectoral et les deux pierres du « éfod », portées au niveau des épaules, offertes par les douze chefs de tribus.