VAYEH’I : Le serment prêté par Yoseph
Lorsque Jacob est mort et que Joseph a demandé à Pharaon l’autorisation de l’enterrer en terre de Canaan, celui-ci lui a répondu : « Monte, et enterre ton père ainsi qu’il t’a adjuré ! » ( Berèchith 50, 6).
Lorsque Jacob est mort et que Joseph a demandé à Pharaon l’autorisation de l’enterrer en terre de Canaan, celui-ci lui a répondu : « Monte, et enterre ton père ainsi qu’il t’a adjuré ! » ( Berèchith 50, 6).
La paracha Vayé’hi contient les bénédictions que Yaacov Avinou a décernées à ses enfants lors de ses derniers instants… Yissa’har sera celui qui se vouera le plus à l’étude de la Torah, au point que son frère Zevouloun se chargera quant à lui de devoir lui procurer sa subsistance. Yaacov Avinou le bénit en le comparant à un « âne musclé » qui se repose entre les collines. Mais pourquoi cette comparaison qui semble si peu élogieuse… ?
Cours vidéo du Rav Rozenberg Zal sur la Parachat Vaye’hi
Après que Eliézer a conclu avec la famille de Rivka qu’elle le suivrait pour se marier à Its’hak, le verset dit : « Son frère et sa mère dirent : ‘Que la jeune fille reste avec nous une année ou quelques mois, après quoi elle partira !’ »
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La population d’avant le déluge citée dans le livre de Berèchith a compté deux personnages appelés Lémekh :
un premier Lémekh, descendant de Caïn (Voir Berèchith 4, 17 à 4, 24), et un second, descendant de Seth et père de Noé (Voir Berèchith 5, 25 à 28).
Si la paracha de Béréchit est une longue énigme dont quasiment rien ne perce jusqu’à nous, ceci est particulièrement vrai pour l’épisode où Adam fut expulsé du Jardin d’Eden. Cependant, à la lumière des enseignements de notre tradition, nous pouvons tout de même percevoir quelques lueurs de cet événement qui marqua l’humanité jusqu’à nos jours.
De même que l’on ne peut parler d’un agresseur sans évoquer sa victime, de même est-il impossible de dissocier Caïn, le premier meurtrier dans l’histoire de l’humanité, d’Abel, son frère qu’il a tué. Comment, se demande le Midrach, l’humanité de l’époque a-t-elle pu aboutir à une telle tragédie ?
Mathusalem est surtout connu pour avoir vécu neuf cent soixante-neuf ans (Berèchith 5, 27), durée qui a fait de son nom un synonyme de « longévité ». Cette durée de vie exceptionnelle, que n’a atteinte aucun autre personnage biblique, a fortement impressionné les esprits.
Plusieurs personnages de la Tora portent le nom d’Enoch (‘Hanokh) : le fils de Caïn, le père de Mathusalem, l’un des fils de Midyan, ainsi que l’un des fils de Ruben. Il ne faut pas le confondre, en revanche, avec un autre Enoch..