La musique au Bet Hamikdach
L’une des tâches qui incombaient aux Léviim était de chanter lors des libations offertes avec les sacrifices quotidiens du matin – tamid chel cha’har et celui de l’après-midi – tamid chel ben haarbaïm.
L’une des tâches qui incombaient aux Léviim était de chanter lors des libations offertes avec les sacrifices quotidiens du matin – tamid chel cha’har et celui de l’après-midi – tamid chel ben haarbaïm.
Lorsque les intentions funestes de Kora’h se révélèrent à Moché, il le convoqua ainsi que toute sa communauté de rebelles pour les soumettre à une épreuve de vérité… Le dénouement – nous le savons – fut que la terre les engloutit entièrement, corps et biens. Or, il s’avère que ce terrible châtiment, bien plus qu’un enterrement collectif, concrétisa la plus juste et terrible punition dûment méritée par ces hommes…
Avec la révolte de Qora‘h nous assistons une nouvelle fois à une querelle au sein d’une même famille, thème récurrent dans la Tora. Après l’épisode des frères ennemis : Caïn et Abel, Jacob et Esaü et Joseph et ses frères, voici celui des cousins que tout sépare. Qora‘h est en effet le cousin germain de Moïse, leurs pères, Yitshar et Amram étant frères, fils de Qehath (Chemoth 6, 18).
Les explorateurs étant des hommes intègres, comme l’affirment nos Sages. Il faut donc comprendre ce qui les a poussé à diffamer la terre promise.
Le récit de la parachath Balaq met en lumière des ressemblances étonnantes entre les deux personnages de la Tora aussi dissemblables que sont Abraham et Bil‘am.
Pin‘has s’est conformé ici à une halakha selon laquelle, lorsqu’un Juif a publiquement une relation sexuelle avec une non juive, les zélotes peuvent le mettre à mort
Le sinistre Bilaam est l’homme de toutes les contradictions. Il parvient singulièrement à allier les plus hautes sphères auxquelles l’homme puisse aspirer, à une conduite sordide et atypique. Comme le souligne rav ‘Haïm Chmoulevits dans ses Si’hot Moussar (chap. 80 et 81), on ne peut qu’être frappé par les incohérences impossibles qui caractérisaient le personnage de Bilaam.
Nous lisons dans une responsa du ‘Hatham Sofèr (Yoré Déa § 356) : « Je voudrais souligner le point suivant : Nous qui formons le peuple juif avons été les témoins visuels de tout ce qui se trouve décrit par la Tora, à l’exception de l’épisode de Bilaam.
[youtube id= »ClRhA_ZAbCc » width= »358″ height= »202″ autoplay= »no » api_params= »rel=0&modestbranding=1″ class= » »][/youtube]Replay cours du Professeur Rav Lumbroso sur Rav Iliche le corbeau et la colombe, dans le cadre des matinales du dimanche organisées par l’association Derech Laolim laolim.com / Bnei Torah
Nous qui formons le peuple juif avons été les témoins visuels de tout ce qui se trouve décrit par la Tora, à l’exception de l’épisode de Bilam.Nos yeux ont vu chacun des miracles produits en Egypte et dans le désert. Chaque événement a été réalisé en présence de six cent mille hommes adultes, desquels nul n’a été exclu. Nos yeux ont vu chacun des miracles produits en Egypte et dans le désert.
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