Seconds Rôles 10 : Devora, nourrice de Rébecca

Devora, nourrice de Rébecca, n’a eu droit qu’à un seul verset dans la Tora (Berèchith 35, 8), et c’est celui qui a annoncé sa mort : « Devora, nourrice de Rébecca, mourut, et elle fut enterrée au-dessous de Beith-El, au-dessous du chêne, auquel on donna le nom de allon bakhouth (« Chêne des Pleurs »). Les commentateurs identifient de diverses manières cette Devora, dont le nom sera porté également, plus tard, par la prophétesse du chapitre 4 du livre de Choftim.

Seconds rôles 7 : Nimrod

Nimrod a été le fils de Kouch et le petit-fils de ‘Ham, l’un des fils de Noé (Berèchith 10, 8 à 12 ; I Chroniques 1, 10). Le texte le décrit comme ayant été « un puissant chasseur devant Hachem » (ibid. verset 8), ce qui signifie, explique Rachi citant le Midrach (Berèchith rabba 37, 2), qu’il « capturait » par ses paroles la pensée de ses contemporains, et qu’il les induisait en erreur en les incitant à se révolter contre Hachem.

Humer la torah à plein poumons

La Agada, ces passages talmudiques se livrant généralement à l’exégèse des versets, se trouve être une étude difficilement abordable. En percer les sens cachés semble revenir à pénétrer les plus profonds secrets de l’étude cabalistique ! Toutefois, le rav Its’hak Hutner zatsal nous propose ici une interprétation remarquable de l’un des ces textes…

Les devoirs du « prince »

La haftara que l’on récite le Chabbath parachath ha-‘hodech (Ezéchiel 45, 16 à 25 et 46, 1 à 18) énumère les sacrifices qui seront présentés sur l’autel lors de notre libération finale.
Et elle s’achève, de façon inattendue, par une exhortation adressée au « prince » : Il aura le droit de faire des donations à ses enfants, selon les règles de la dévolution successorale, mais il ne pourra pas déposséder ses sujets de leurs biens (46, 16 à 18)

La parabole de la semaine – Parachat Para

En ce Chabbat Para, nous lisons la paracha de la « Vache rousse » qui énonce – entre autres – qu’après avoir mélangé les cendres de cette bête avec de l’eau, le Cohen doit en asperger ceux qui se sont rendus impurs au contact d’un mort. Or, le Cohen lui-même devient impur pour avoir touché à ce mélange, alors que – paradoxalement – la personne aspergée retrouve sa pureté…