Zakhor : Le devoir du souvenir

Le Chabbath qui précède la fête de Pourim , on lit en plus de la paracha normale, les versets de la Tora qui nous ordonnent de nous souvenir de Amalek et de le détruire Le Chabbath qui précède la fête de Pourim , on lit en plus de la paracha normale, les versets de la Tora qui nous ordonnent de nous souvenir de Amaleq et de le détruire ( Devarim 25, 17 à 19).

Gravir son échelle



Les anges, « qui montaient et descendaient de l’échelle » dans le rêve de
Yaacov, évoquent généralement, dans les différents commentaires, cette
porte qui relie le Ciel à la Terre. Mais dans l’interprétation qu’en donne le
« Ktav Sofer », c’est plus particulièrement « l’échelle » qui est mise en relief.

DANS LE Traité ‘Houlin (page
91/b), le Talmud donne à
ces « montées et descentes
» des anges une interprétation
indéniablement cabalistique : « Ils
montaient et regardaient le ‘visage’
d’En-Haut, et ils descendaient et le
comparaient au visage d’en bas ».
Or le visage d’En-Haut, nous révèle
Rachi, est celui gravé sur le
Trône divin décrit dans la fameuse
vision du prophète Ezéchiel (au
chapitre 1).

Faits et contrefaits

Dans son commentaire de la paracha « Vayésté », le rav Chimchon Raphaël Hirsch (1808-1888) écrit : « Lors du renouvellement de l’histoire humaine à la suite du déluge, Noa’h avait vu prophétiquement qu’il serait donné à la culture de Yafèt de gagner les hommes à la notion du beau… Mais il avait vu également qu’il était réservé à Chem, et à Chem uniquement, de ‘bâtir des tentes dans lesquelles l’Eternel réside’. C’est avec Yaacov que cette vision se concrétisera…