La parabole de la semaine

« Si tu obéis à la voix de l’Éternel, ton Dieu, observant avec soin tous ses préceptes, que je t’impose en ce jour, (…) Béni seras-tu à ton arrivée, et béni encore à ton départ! » (Devarim 28, 1-6). Le Rav Its’hak Zilberstein chlita, le rav de Ramat El’hanan, raconte la parabole suivante, qu’il a entendue d’un témoin qui a assisté lui-même à son déroulement à Moscou, au début du soulèvement communiste.

Seconds Rôles 10 : Devora, nourrice de Rébecca

Devora, nourrice de Rébecca, n’a eu droit qu’à un seul verset dans la Tora (Berèchith 35, 8), et c’est celui qui a annoncé sa mort : « Devora, nourrice de Rébecca, mourut, et elle fut enterrée au-dessous de Beith-El, au-dessous du chêne, auquel on donna le nom de allon bakhouth (« Chêne des Pleurs »). Les commentateurs identifient de diverses manières cette Devora, dont le nom sera porté également, plus tard, par la prophétesse du chapitre 4 du livre de Choftim.

Seconds rôles 7 : Nimrod

Nimrod a été le fils de Kouch et le petit-fils de ‘Ham, l’un des fils de Noé (Berèchith 10, 8 à 12 ; I Chroniques 1, 10). Le texte le décrit comme ayant été « un puissant chasseur devant Hachem » (ibid. verset 8), ce qui signifie, explique Rachi citant le Midrach (Berèchith rabba 37, 2), qu’il « capturait » par ses paroles la pensée de ses contemporains, et qu’il les induisait en erreur en les incitant à se révolter contre Hachem.