Parachath Balak – Le vrai zélote
Pin‘has s’est conformé ici à une halakha selon laquelle, lorsqu’un Juif a publiquement une relation sexuelle avec une non juive, les zélotes peuvent le mettre à mort
Pin‘has s’est conformé ici à une halakha selon laquelle, lorsqu’un Juif a publiquement une relation sexuelle avec une non juive, les zélotes peuvent le mettre à mort
Le sinistre Bilaam est l’homme de toutes les contradictions. Il parvient singulièrement à allier les plus hautes sphères auxquelles l’homme puisse aspirer, à une conduite sordide et atypique. Comme le souligne rav ‘Haïm Chmoulevits dans ses Si’hot Moussar (chap. 80 et 81), on ne peut qu’être frappé par les incohérences impossibles qui caractérisaient le personnage de Bilaam.
Nous lisons dans une responsa du ‘Hatham Sofèr (Yoré Déa § 356) : « Je voudrais souligner le point suivant : Nous qui formons le peuple juif avons été les témoins visuels de tout ce qui se trouve décrit par la Tora, à l’exception de l’épisode de Bilaam.
La Paracha Emor énumère en détail les fêtes juives, parmi lesquelles celle de Souccot : « Vous demeurerez dans des souccot durant sept jours ; tout citoyen en Israël demeurera sous la soucca », (Vaykra, 23, 42). L’illustre Alchikh Hakadoch explique dans son commentaire sur la Torah ce qui semble apparaître comme une « redondance » dans ce verset.
Cette haftara, qui définit ce que sera le rôle des kohanim dans le futur troisième Temple, contient un verset qui présente une anomalie scripturale (qeri kethiv)
Pourquoi cette section qui a trait aux lois sacerdotales fait-elle directement suite à l’interdiction de consulter un évocateur (ov) ou un faiseur de sortilèges (yid‘oni) – formulée dans le dernier verset de la paracha précédente ?
La fin de la parachath Emor est marquée par un événement grave : Un homme est sorti du camp des enfants d’Israël et a blasphémé contre Hachem. Sa punition sera très sévère : Condamné à mort, il sera lapidé (Wayiqra 24, 14).
Cours audio de Rav Daniel Abdelhak pour comprendre la Mitsva d’aimer notre prochain comme soi-même, par le Rav Daniel Abdelhak. [youtube id= »-KPyy3mRtvY » width= »358″ height= »202″ autoplay= »no » api_params= »rel=0&modestbranding=1″ class= » »][/youtube]
« Le kohen ordonnera, et il prendra, pour celui qui se purifie, deux oiseaux vivants purs… » (Wayiqra 14, 4).
Pourquoi faut-il deux oiseaux, et non un seul, pour purifier celui qui est atteint de tsara’ath ?
Le lien qui unit la lèpre (Tsaraat) et la parole est clairement explicité sous la plume de nos Sages (Traité talmudique Erkhin, page 15/a). C’est ce que nous allons essayer de mettre en lumière…
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