La vigueur des femmes hébreues
« Pharaon ordonna à tout son peuple en disant : Tout fils qui naîtra vous le jetterez dans le fleuve, et toute fille vous la laisserez en vie » (Chemoth 1, 22).
« Pharaon ordonna à tout son peuple en disant : Tout fils qui naîtra vous le jetterez dans le fleuve, et toute fille vous la laisserez en vie » (Chemoth 1, 22).
« Lorsque Pharaon vous parlera en disant : Donnez-vous un prodige ! Tu diras à Aaron : Prends ton bâton et jette-le devant Pharaon, et qu’il soit serpent ! » ( Chemoth 7, 9).
Bien que la Tora les ait déjà comptés de leur vivant en indiquant leurs noms (Beréchith 46, 8 à 27), commente Rachi, elle les recense à nouveau après leur mort pour montrer combien Hachem leur est attaché.
Dans son introduction au Livre de l’Exode (Chémot) dont nous entamons la lecture cette semaine, rabbi Méïr Sim’ha de Dvinsk zatsal – le fameux « Or Saméa’h »
Pourquoi les femmes doivent-elles aussi boire les quatre coupes de vin du Séder ?
Au début de « Arvé Pessa’him » – le dernier chapitre du Traité de Pessa’him – la Michna exige des gabaïm – responsables de la tsédaka –
La Agada, ces passages talmudiques se livrant généralement à l’exégèse des versets, se trouve être une étude difficilement abordable. En percer les sens cachés semble revenir à pénétrer les plus profonds secrets de l’étude cabalistique ! Toutefois, le rav Its’hak Hutner zatsal nous propose ici une interprétation remarquable de l’un des ces textes… Le…
Pourquoi les femmes doivent-elles
aussi boire les quatre coupes de vin du Séder ?
Au début de « Arvé Pessa’him » – le dernier chapitre du Traité de Pessa’him – la Michna exige des gabaïm –
responsables de la tsédaka – de veiller à ce que tous les pauvres reçoivent une somme d’argent suffisante
pour accomplir la mitsva des quatre coupes de vin au soir du Séder de Pessa’h…
Effectivement, le déroulement
du Séder pascal exige la dégustation
de quatre coupes de
vin : la première est celle du kidouch de ce jour de fête (Yom tov),
la deuxième vient à la fin de la première
moitié du Hallel, la troisième
est celle du Birkat Hamazone, la
dernière venant après les cantiques
qui suivent la fin du Hallel.
Il convient d’approfondir davantage
le thème de la magie et
de la sorcellerie en tentant de
comprendre comment l’esprit de la
Torah conçoit l’existence de telles
forces occultes.
NOUS SAVONS que les océans
recouvrent près de
70 % de notre planète
et que non seulement des abîmes,
mais aussi des fosses
océaniques profondes parfois
de plus de 10 000 mètres forment
un « territoire » resté depuis
toujours en grande partie
inexploré… Que ce soient
la présence de gaz hydratés
– qui prennent l’allure de véritables
cristaux semblables à
de la glace -, les tempêtes ou
les avalanches sous-marines,
ou encore ces courants étroits
(les fameux « effets de cheminée
») susceptibles d’emporter
l’eau de la surface en l’espace
de quelques instants à plus
de 2 kms de profondeur, les
fonds marins restent en grande
partie aujourd’hui encore
une véritable énigme…
« Joseph recueillit “tout l’argent” se trouvant dans le pays d’Egypte et dans le pays de Canaan, pour le blé qu’ils achetaient. Joseph fit venir “l’argent” dans la maison de Pharaon » ( Berèchith47, 14).