La bénédiction des Cohanim

C’est dans la paracha de Nasso que figure la bénédiction des Cohanim : « Voici comment vous bénirez les enfants d’Israël ; vous leur direz : ‘Que l’Eternel te bénisse et te protège.’ ; ‘Que l’Eternel fasse rayonner Sa face sur toi et t’accorde la grâce.’ ; ‘Que l’Eternel dirige Sa face vers toi et t’accorde la paix.’ » (Bamidbar 6, 23-26).

Le compte des enfants de Guerchon

Nous lisons dans le Midrach (Bamidbar Rabba 6, 1) : « Relève le nombre de têtes des fils de Guerchon Cela est en harmonie avec le verset (Michlei 3, 15) : [La sagesse] est plus précieuse que les perles (peninim). Bien que Guerchon fût l’aîné [des fils de Léwi], et que l’Ecriture témoigne toujours du respect au premier-né, du fait que Qehath portait l’Arche contenant la Tora, c’est à lui que le Texte a accordé la préséance

Paracha et Haftara Nasso

Parmi les divers sujets qui sont traités dans la parachath Nasso , on trouve les lois concernant la sota (« femme soupçonnée d’adultère ») et celles du nazir (« abstème »).
Pour expliquer cette proximité insolite, la Guemara (voir notamment Berakhoth 63a) recommande à celui qui a vu la sota dans sa déchéance de s’abstenir comme nazir de consommer du vin.

A partir de vingt ans

En ordonnant à Moïse de procéder à un recensement des enfants d’Israël,Hachem lui demande de compter les hommes à partir de vingt ans(Bamidbar 1, 3).
Une question cependant se pose : comment se fait-il que les hommes ne soient comptés qu’à partir de l’âge de vingt ans, alors que la majorité individuelle est atteinte à treize ans ?