Des gouttes de sang qui coutent cher

A quelques semaines de Pessah, la fabrication des matsoth bat son plein dans toutes les boulangeries ou presque. Le nombre croissant de producteurs de pain azyme, va de paire avec une augmentation des visites de contrôle de la cacheroute. Lors d’une de ses visites, le Rav Naftali Frankel a eu la surprise de découvrir qu’un des employés d’une boulangerie avait la main qui saignait. Interrogé, ce dernier déclara que cela faisait quelques temps qu’il avait remarqué sa blessure.

Parachath et Haftarath Bo

Parachath Bo Pendant le repas

C'est dans la parachath Bo qu'est stipulée pour la première fois la mitswa du rachat du premier-né ( pidyone ha-ben ) : «  Et tout premier-né de l'homme parmi tes fils, tu le rachèteras » ( Chemoth  13, 13).

La cérémonie qui accompagne l'accomplissement de cette mitswa présente une particularité inattendue.

Les repas qui fêtent la célébration d'un mariage ou l'accomplissement d'une berith mila sont toujours servis après cette célébration et après cet accomplissement. En revanche, c'est pendant le repas de fête, et non avant lui, que l'on procède au pidyone ha-ben .

Pessa’h Cheni ou la conquête de soi

Nous commémorons cette semaine le « Pessa’h Chéni ». Bien que ce jour ne constitue pas une fête à proprement parler, le 14 Iyar comporte pourtant une signification majeure souvent méconnue ! Même si le 14 Iyar n’est ni une fête ni un jour férié, l’habitude a pourtant été prise de célébrer ce jour en souvenir de l’agneau pascal qui était offert au Temple par tous ceux qui n’avaient pas eu la possibilité de le faire le 14 Nissan.