Une alliance de sel

A la fin de la paracha Kora’h, la Torah énumère les différentes offrandes accordées à la tribu des Cohanim, qui s’élèvent au nombre de vingt-quatre. Parmi les sacrifices appelés « Kodech haKodachim », la tribu des Cohanim se voit ainsi attribuer une part sur les bêtes approchées : « Toutes les offrandes dont on Me fera hommage (…) appartiendront à toi [Aharon] et à tes fils » (Bamidbar 18, 9).

La mort de Kora’h

Tandis que la Tora décrit avec force détails la façon dont sont morts les partisans de Kora’h , elle ne dit mot nulle part sur ce que fut la fin de Kora’h lui-même.
C’est la Guemara ( Sanhédrin 110a) qui nous informe sur son sort …

« Riche comme Crésus »

Qora‘h partage avec Balaq l’honneur d’avoir donné son nom à une paracha, et ce malgré l’hostilité que leur témoigne la Tora. La raison en est, suggère le Birkath Avraham, que le texte l’appelle, ainsi que ses sympathisants, « qeriei mo‘èd, anchei chem » (littéralement : « appelés de l’époque, hommes de nom » (Bamidbar 16, 2).

Kora’h, porteur de l’Arche

Nos Sages rapportent que Kora’h faisait partie des « porteurs de l’Arche ». C’est-à-dire que pendant les voyages dans le désert, c’est lui qui avait l’insigne honneur de transporter l’Arche sainte. À n’en pas douter, ceci témoigne d’une certaine envergure.

Autre mission, autres conséquences

Alors que Josué avait fait partie des douze explorateurs envoyés par Moïse pour explorer Erets Yisraël et qu’il savait mieux que quiconque les conséquences catastrophiques qu’avait engendrées l’exécution de leur mission, il n’a pas hésité à répéter l’expérience en chargeant deux hommes de procéder à leur tour à cette exploration.