Devinette: Qora‘h, ‘Houqath et Balaq
Les noms des trois sidroth : Qora‘h , ‘Houqath et Balaq contiennent une allusion à la grave détérioration de la sainteté des enfants d’Israël pendant la période qu’elles embrassent. Quelle est-elle ?
Les noms des trois sidroth : Qora‘h , ‘Houqath et Balaq contiennent une allusion à la grave détérioration de la sainteté des enfants d’Israël pendant la période qu’elles embrassent. Quelle est-elle ?
Commentant le verset : « Ils prendront à ton attention une vache rousse, parfaite, sans défaut, et qui n’a jamais porté le joug. Vous la remettrez au prêtre Eléazar qui la conduira hors du camp, et on l’immolera en sa présence » (Bamidbar 19, 2), le Midrach (Yalkout Chimoni, ‘Houkat 19) enseigne : « La ‘vache’, c’est l’Egypte, comme il est dit : ‘Ô Egypte, génisse aux belles formes’ (Jérémie 46, 20). ‘Rousse’, c’est Babel, comme il est dit : ‘Tu es la tête d’or’ (Daniel 2, 38). ‘Parfaite’, ce sont les Mèdes.
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La faute commise par Moché à Meriva lui a couté de ne pas pouvoir entrer en Eretz Israel. Pourquoi cela ? Cours audio du Rav Dov Roth-Lumbroso
Il y a 776 ans, vingt quatre charretées d’exemplaires du Talmud étaient brûlés en place de Grève à Paris. Cet événement tragique était la conséquence d’une hostilité croissante du christianisme envers le judaïsme qui a connu une recrudescence au 13e siècle.
Cours donné par le Rav David Breisacher. Comment se sont comportés les femmes dans le désert ? Quelle est la force des femmes ?
Comme on le sait, l’injonction de la « vache rousse » (Para Adouma) place l’intelligence humaine devant une contradiction insurmontable : bien qu’il s’offre à la domination de l’homme – « maître et possesseur de la nature » (sic) -, le rituel de la vache rousse, réunissant dans un mouvement paradoxal les contraires les plus absolus (la vie et la mort) qui se côtoient ici dans une profonde entente métaphysique, nous dévoile comment le réel échappe à l’autorité rationnelle de toute créature.
Rachi ajoute : « Étant donné que le Satan et les peuples du monde se moquent d’Israël en disant : ‘ qu’est-ce que cette mitsva et quel en est le motif ? ’, le texte emploie ici le terme ‘houka (statut), destiné à marquer que ‘ c’est un décret émanant de Moi que tu n’as pas le droit de critiquer ’ » (Midrach Tan’houma).
L’essentiel de cette haftara est constitué par le discours que Jephté a tenu au roi des Ammonites, ennemis des enfants d’Israël, Il avait envoyé une délégation auprès de ce monarque, avec mission de lui demander les raisons de son agressivité envers les enfants d’Israël .
D’emblée, la paracha de cette semaine, Houkat nous détaille les lois relatives à la fameuse vache rousse qui a la particularité de purifier les impurs mais aussi de rendre impurs ceux qui sont purs. Comment expliquer une telle contradiction ? Rachi s’empresse de nous indiquer que cette « ‘houka » est un décret divin qu’il ne faut pas chercher à comprendre. Et pourquoi en serait-il ainsi ?
Dans son brillant commentaire sur la paracha ‘Houkat, étudié chabbat dernier dans l’enceinte de la synagogue de Misguav Lada’h à Jérusalem, le Chla Hakadoch, Rabbi Yéchaïa Halévy Horovitz zatsal explique la centralité, dans la Torah, du ‘hok, cette mitsva que l’on ne peut comprendre. Mais il précise que si la vache rousse est le prototype de ce ‘hok, chaque mitsva, même la plus triviale, possède un degré de ‘hok, d’inexplicable.
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