PUBLIREPORTAGE: Yaakov Meppen dirige depuis près de douze ans l’agence immobilière ‘BienEnIsrael’. Il répond à nos questions pour donner des précisions sur les différentes activités de son agence et présenter les avantages de ses nombreux services. Téléphone en France : 01 83 80 58 88 ou 0508752289 à partir d’Israel jusqu’à 22h00 même le dimanche

CDP : Il existe de nombreuses agences immobilières en Israël s’adressant au public francophone : en quoi votre agence se distingue-t-elle des autres ? Quelle est sa spécificité ?

Yaakov Meppen : Notre agence se distingue avant tout par le service personnalisé qu’elle propose à chacun de ses clients. Nous les accompagnons dans toutes leurs démarches de A à Z. Dès le choix de leur appartement, c’est nous qui les dirigeons vers un avocat. S’ils sont en France, comme c’est parfois le cas, nous faisons le maximum pour leur fournir tous les documents nécessaires à la transaction. S’il faut s’occuper d’une gestion locative, c’est nous qui l’assurons également. Par ailleurs, si des problèmes surgissent entre locataires et propriétaires, nous tentons d’arbitrer entre eux. Nous faisons tout cela pour aider les Juifs de France à gérer leur appartement de la meilleure façon possible.

CDP : Comment définiriez-vous votre clientèle ? S’agit-il de personnes résidant encore en France ?

YM : Disons que 70 % de notre clientèle habite encore en France et achète soit pour investir, soit pour une future installation en cas d’Alya. Les 30 % restants sont des Francophones déjà installés en Israël qui souhaitent être guidés dans leur choix d’un bien immobilier. Là, le service nécessite moins de travail étant donné qu’ils se trouvent sur place et peuvent donc effectuer eux-mêmes un certain nombre de démarches.

En fait, nous avons trois sortes de clients :
–         ceux qui achètent un bien sans intention de le louer et qui l’utilisent lorsqu’ils viennent en vacances en Israël ou pour leurs enfants étudiants. Ces personnes n’ont pas besoin de service après vente.
–         ceux qui achètent en prenant un crédit et qui n’ont pas les moyens de laisser leur appartement vide. Ils remboursent leur prêt par la location du logement. Donc, il faut s’occuper de le louer et nous nous chargeons de toutes les démarches.  
–         ceux qui considèrent l’achat d’un appartement comme un investissement et n’ont pas l’intention de l’habiter un jour. Il s’agit donc pour eux d’un placement immobilier qui doit avoir la meilleure rentabilité possible. Pour ce type de clientèle, nous nous occupons également de la location du logement.  

CDP : Vous ne travaillez qu’à Jérusalem ?

YM : Tout dépend du type de service que nous proposons. Pour l’habitation essentiellement, nous couvrons tout Jérusalem dans des quartiers plus ou moins religieux, comme par exemple la Mochava Haguermanit, Bakaa, Katamon Hayeshana, Mekor Haïm, en fonction de la demande du client.
Mais dans notre agence, nous proposons également de l’investissement locatif et nous aiguillons alors notre clientèle vers d’autres villes comme Beershéva, Tel Aviv, Petah Tikva, le centre du pays. Nous proposons des biens avec 7 à 8 % de rapport locatif, ce qui est bien mieux que ce qu’on peut trouver en France actuellement. Pour donner un exemple, nous avons des appartements à partir de 120 000 euros : cela signifie qu’il faut un apport personnel de 60 000 euros puisque les banques en Israël prêtent à hauteur de 50 % pour les résidents étrangers même s’il s’agit d’un investissement, conformément aux directives de la Banque d’Israël. Quant au choix de la banque, il est laissé au client qui décide en fonction des taux les plus intéressants. Ces conditions permettent à de nombreuses personnes ne disposant pas de grands moyens financiers d’acquérir un appartement dans des villes comme Beershéva, d’obtenir un rapport locatif de 7 %, et d’utiliser ces rentrées d’argent pour louer par exemple un quatre ou cinq pièces à Jérusalem.

CDP : Vous vous présentez aussi comme « chasseur d’appartements ». Comment procédez-vous ?  Dans quel cas  vous lancez- vous ainsi dans la quête d’un appartement ?

YM : Nos clients ont parfois des critères très précis, recherchant par exemple un logement dans une rue calme, à un étage particulier, avec une exposition spécifique. Quelquefois aussi, ils souhaitent avoir un certain type de construction, neuve ou plus ancienne. Nous tenons compte de leur choix avant de procéder à un tri des appartements disponibles sur le marché pouvant éventuellement correspondre à leurs desiderata. Evidemment, cela exige beaucoup de travail et peut prendre du temps mais nous finissons par trouver ce qu’ils désirent et les satisfaire.

CDP :Vos clients se trouvant à l’étranger doivent-ils toujours se déplacer pour acquérir un appartement ?

YM : Lorsqu’il s’agit d’un appartement où le client souhaite habiter dans l’immédiat ou plus tard, il est bien entendu préférable qu’il se déplace pour le voir et s’assurer qu’il correspond bien aux critères qu’il a exigés. Donc, de façon générale, le client effectue le voyage et nous le lui conseillons fortement. Mais pour un investissement immobilier, le client n’est pas obligé de se déplacer : nous avons vendu beaucoup d’appartements par photos interposées, avec une procuration notariale, surtout lorsqu’il s’agit d’un placement pour un appartement à Arad ou Beershéva coûtant autour de 100 000-130 000 euros.

CDP :Vous parlez également de confiance dans votre publicité et c’est à mon avis le mot clé. On connaît les déboires de certains Olim qui n’ont pas bénéficié des services qui leur avaient été promis. Comment leur garantir qu’ils n’auront pas ce type de déceptions, de mauvaises surprises avec vous ?

YP : Une garantie absolue est quasiment impossible. En revanche, on peut dire que nous essayons toujours de satisfaire au maximum le client en veillant à ce que tout soit fait de la meilleure façon possible sur toute la ligne. Vu notre emplacement à Jérusalem et notre expérience en Israël, nous connaissons les meilleurs intermédiaires, qu’il s’agisse d’une agence, d’un avocat, d’un notaire, et très souvent d’un broker chargé de préparer le dossier du prêt et de le présenter auprès des banques. Nous sommes aussi en contact avec différents corps de métier s’il faut effectuer des travaux dans l’appartement acquis en vue d’une habitation ou d’une location. Nous nous battons pour notre client afin d’obtenir qu’il ne paie pas davantage que le prix du marché et nous y parvenons. Nos partenaires sont très compétents et proposent d’excellents prix avec un travail honnête et une garantie de dix ans sur les travaux. En outre, nous cherchons toujours à obtenir pour nos clients des prêts immobiliers à des prix très compétitifs.

CDP :Utilisez-vous les témoignages d’anciens clients satisfaits pour votre publicité, pour vous recommander ?    

YM : Nous avons de très nombreux clients satisfaits. D’ailleurs je peux dire qu’à 50 %, les gens viennent vers nous grâce au bouche à oreille. Les autres s’adressent à nous après avoir vu une publicité comme toutes les autres agences mais ils sont également très nombreux à avoir entendu parler de nous.

CDP : Existe-t-il beaucoup d’appartements sur le marché ?

YM : Tout dépend du type d’appartement que l’on cherche. Dans le neuf, il y a beaucoup d’appartements et un grand nombre de promoteurs. Pour ce qui concerne la construction plus ancienne, ils sont nombreux également mais il faut qu’ils correspondent aux critères du client. On peut trouver son bonheur à Jérusalem et dans le reste du pays. Il faut dire aussi que certains quartiers de Jérusalem en pleine expansion sont moins chers que d’autres comme par exemple Kiriat Yovel ou Guilo pour le public orthodoxe.

CDP :Est-ce le moment d’acheter un appartement en Israël ?

YM : Ce n’est pas seulement le meilleur moment, c’est aussi une obligation de la Tora qui se précise aujourd’hui en raison des événements actuels en Europe. Il est important pour chaque Juif d’avoir au moins un pied-à-terre, sinon plus, dans sa maison qui est Eretz Israël.

Propos recueillis par

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