Le ministère de l’éducation nationale n’est pas encore remis de l’affaire des Kolelim, et après la tempête de la semaine dernière, il a été publié un décret concernant les institutions toraniques stipulant un resserrage au niveau de la supervision de ces dernières percevant des aides du ministère.
Concrètement, si jusqu’à présent il suffisait d’avoir sur soi sa carte d’identité, désormais chaque Avre’h devra réciter par cœur à l’inspecteur les chiffres de son immatriculation, mais également répondre sans hésitations à d’autres détails inscrits sur sa carte d’identité.
Si jamais l’étudiant présente une photocopie de son identité, il sera immédiatement mis de côté pour une vérification plus détaillée.
On spécule que le ministère de l’éducation va préparer plus d’inspecteurs qui viendront par surprise vérifier le bon fonctionnement des institutions toraniques dans un avenir proche.