Cette pièce unique a une histoire touchante qui a été transmise depuis plusieurs générations : le Hazon Ich connaissait un Juif pauvre dont la vue baissait et qui n’avait pas les moyens de s’acheter des lunettes.
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La Porte de Brandebourg, l’un des sites les plus célèbres de Berlin, a été éclairée lundi soir du drapeau d’Israël, en signe de solidarité après l’attentat terroriste au camion-bélier à Jérusalem qui a fait quatre victimes, soldats de Tsahal.
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Une cérémonie a été organisée par le CRIF à Paris, le lundi soir 9 janvier, à l’occasion du 2e anniversaire du massacre perpétré par le terroriste Amedy Coulibaly le 9 janvier (18 Teveth) 2015 dans le magasin d’alimentation Hyper Cacher de la Porte de Vincennes.
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En légende de ces photographies, l’astronaute a écrit : « Le paysage de la Terre Sainte vu des fenêtres de notre coupole spatiale ».
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Netanyahou a déclaré, impressionné : « Lorsque j’ai vu maintenant nos blessés, c’était absolument incroyable. Ils m’ont dit une seule chose : ‘Monsieur le Premier ministre, nous voulons retourner à notre cours, nous voulons reprendre notre service, nous voulons poursuivre notre mission en tant que soldat de l’armée de défense d’Israël’ ».
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Étant donné les nombreux problèmes halakhiques que pose le prélèvement d’organes, il convient de s’inscrire sur le « fichier national du refus », estime le grand rabbin de Paris.
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Quelques heures après le terrible attentat perpétré dimanche après-midi à Jérusalem, le Rav Itshak Zilberstein a donné un cours dans lequel il a tenu à réveiller l’assistance, l’appelant à s’engager à lire la Paracha des Korbanot.
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Les événements auront lieu lundi 9 janvier et dimanche prochain.
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Quelques heures après l’attentat au camion-bélier, qui a causé la mort de quatre militaires et fait une quinzaine de blessés, on a appris le nom des victimes, toutes âgées d’une vingtaine d’années.
DétailsIl est intéressant de noter, remarque Rav Zalman Sorotzkin, que cette paracha, qui relate la mort de Ya‘aqov, est intitulée Waye‘hi (« il vécut »). De même, celle qui rend compte de la mort de Sara est ‘Hayei Sara (« la vie de Sara »), comme pour marquer le fait que la vie et la mort ne constituent pas des notions opposées.
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