Lorsque l?impossible devient possible
Un principe connu dans les lois sur l’impureté établit que lorsqu’un état d’impureté – supposé empêcher tout contact avec le Temple et les sacrifices – concerne une assemblée toute ent tière, celui-ci se voit « repoussé » en raison des besoins de la communauté, et de ce fait, il est alors permis de réaliser les différents services à l’intérieur du Temple en dépit de l’impureté en question. Par conséquent, il y a lieu de s’int terroger : pour quelle raison les ‘Hachmonaïm n’appliquèrent-ils pas cette règle afin d’allumer le Candélabre à l’aide de l’huile « impure » laissée par les Grecs dans le Temple, au point où un miracle devint indispensable ? Pour résoudre ce problème, il nous faut revenir au fondement même du « devoir de l’homme » en ce monde.
Détails
La Commission européenne prépare un règlement entravant considérablement l’abattage rituel. Les responsables communautaires dénoncent une offensive contre la che’hita et se sont lancés dans un lobbying actif pour contrer les campagnes des défenseurs des animaux.
Si le miracle de ‘Hanouka semble se résumer à cette petite quantité d’huile qui se consuma huit jours au lieu d’un seul, les commentateurs relevèrent néanmoins de nombreuses interrogations à ce sujet. Voici donc l’une d’entre elles… 
Les quelques lignes suivantes sont extraites d’un discours du rav Aryé Leib Lopian, zatsal, ancien roch yéchiva de Gateshead, qu’il prononça au sein de sa prestigieuse institution le dernier ‘Hanouka de sa vie. Cette intervention a été récemment éditée dans un recueil intitulé « Néro Yaïr » et édité à la mémoire de rav Méïr Sebbag zatsal de Marseille.



Pour voir les autres photos, cliquez ici

