Une amitié qui changea la face du monde Par le Rav Rav Eliahou Elkaïm de la yéchiva 
«Rabbi disait : Quel est le droit chemin que l’homme doit choisir ? Tout chemin dont peut s’honorer celui qui le prend, et pour lequel il est honoré par les autres hommes. »
(Chapitre 2, Michna 1)
Le mot « censure » résonne dans l’esprit du peuple juif comme le nom d’une vieille ennemie, à la fois craintive pour elle-même
et pernicieuse dans ses actes, dont les origines remontent à plusieurs siècles… du temps des premières grandes « disputations
talmudiques » opposant les Sages de notre peuple aux représentants du clergé catholique.
Si pour le peuple d’Israël, l’exil
signifia longtemps un terrible
cortège d’oppressions
physiques et de cruelles épreuves
corporelles, c’est à sa culture, à ses
livres et à son âme que les nations
européennes commencèrent à s’en
prendre dès le XIIe siècle sur le
Vieux Continent.
Une loi américaine pour permettre
une mézouza à l’entrée des maisons
Aux États-Unis, les Juifs sont
parfois obligés de retirer la
mezouza de la porte d’entrée suite à des plaintes déposées par les chefs de projets. Les sénateurs juifs du congrès ont donc décidé de proposer une loi qui permettrait aux Juifs d’apposer une mézouza à la porte d’entrée.
Après 60 ans pendant lesquels l’armée s’est fiée aux clôtures entourant
ses bases pour se dispenser de construire un Erouv, les rabbins du Corps
des aumôniers militaires de Tsahal ont décidé que le moment était venu
de construire un Erouv digne de ce nom autour de chaque base, avec des
poteaux reliés par un fil de fer.
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Extraite du Moussaf de Roch Hachana, la prière de « Alénou léChabéa’h » proclame l’élection du peuple d’Israël et sa suprématie face aux autres nations du monde. A tel point qu’au regard de l’importance de ce texte, on instaura à l’époque médiévale de le réciter à la fin de chaque prière, une coutume aujourd’hui adoptée par toutes les communautés juives au monde.
