Les rigueurs de la justice
« N’accepte pas de présent corrupteur, car la corruption trouble la vue des
clairvoyants et fausse la parole des justes », (Chémot, 23, 8). De fait, les
pots-de-vin, gratifications et autres « avantages » glissés sous les tables
des juges sont autant de forme de malversations destinées à corrompre
la justice. L’ordre imposé ici par la Torah est reconnu comme une règle
de conduite universelle – bien que trop souvent enfreinte ! – et il est
communément considéré comme l’un des plus élémentaires principes de tout
système judiciaire valable.
Toutefois, en y regardant de
plus près, on pourra s’apercevoir
que dans la conception
de la Torah, ce thème relève
d’une dimension nettement plus
profonde.



Prêter, une mitsva révolutionnaire






