Le Sepher Torah du Ben Ich Haï
Le sefer torah du ben ich hai a été retrouvé à Bagdad et a été secrètement envoyé en Israel |
Le sefer torah du ben ich hai a été retrouvé à Bagdad et a été secrètement envoyé en Israel |
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Parachath Ki thavo ? « Un Araméen a voulu perdre mon père »
« Un Araméen [Laban] a voulu perdre mon père [Jacob], il est descendu en Egypte? » ( Devarim 26, 5).
Quel est le rapport entre la première partie du verset, qui signale les intentions malveillantes de Laban, et la deuxième, qui rappelle la descente de Jacob en Egypte ?
Détails Le thème des « Bikourim » – les prémices des fruits de la terre d’Israël présentés au Temple après la fête de Chavouot – est
très dense et profond. En effet, au fil des divers enseignements de nos Sages, nous nous apercevons qu’une importance toute
particulière était autrefois attribuée à cette offrande et qu’il est ici question de bien plus qu’un « sacrifice » parmi tant d’autres…
C’est de part et d’autre de la ville de Che’hem (Naplouse) que
se dressent deux montagnes au passé fort prestigieux : les
monts Guérizim et Eval. C’est en effet en se tenant à chacun
de leur sommet qu’au jour de leur entrée sur la Terre d’Israël,
les Hébreux procédèrent à la cérémonie des bénédictions
et des malédictions décrite dans notre paracha (Dévarim,
chapitre 27)…
Rabbi Chmouël Strauss, le bras
droit du rav Halperin, nous
a montré différents objets
exposés à l’Institut où ont été appliquées
des techniques spécialement
conçues par une équipe de talmidé
‘ha’hamim et d’ingénieurs afin de
permettre de mettre en marche des
appareils électriques en cas d’urgence
sans profaner le Chabbat
(« le’halel Chabbat min haTorah »)
Le rav Lévi Its’hak Halperin est à la tête de « l’Institut
scientifique et technologique de la Hala’ha » qui apporte des
solutions basées sur la Hala’ha – la Loi juive traditionnelle
– à toute une gamme de questions surprenantes sur la vie
moderne. « Ce bâtiment est peut-être peu impressionnant, faitil
remarquer depuis le siège de son Institut situé dans un petit
bâtiment au centre du quartier de Bayit Vegan à Jérusalem, mais
les ordinateurs et les dossiers qui s’y trouvent contiennent plus
de science et de technologie que bien des immeubles immenses
de la planète, sans compter tous les essais basés sur la Hala’ha et
les psakim qui sont sortis d’ici ! » En fait, c’est là que s’adressent
bien souvent des astronautes, médecins et autres scientifiques du
monde entier pour poser leurs questions…
La rabbanite Kanievsky s’entretient avec Hamodia de l’importance de
faire attention à son langage, de la manière d’élever sa famille, ainsi que
des autres responsabilités incombant aux femmes. Elle illustre ses paroles
d’anecdotes sur son père, le Gaon Harav Yosef Chalom Elyachiv, chlita, de
son mari, le Gaon Harav ‘Haïm Kanievsky chlita, et de son grand-père, le
rav Arié Levin, zatsal.
On pourrait résumer le cas de
la « yéfat toar » – sur lequel
débute notre paracha de
Ki-Tétsé – par ces quelques mots
de Rachi (Dévarim, chapitre 21,
11) : « La Torah ne s’est prononcée
ici que par opposition au mauvais
penchant, car si le Saint Béni soit-
Il n’avait pas permis cette femme,
l’homme la prendrait tout de même
de manière interdite ».
N’est-ce pas faire preuve d’anthropomorphisme que d’affirmer que l’homme
éprouve de la mansuétude envers le genre animal ? C’est à cette question
restée toujours d’une grande actualité que nous allons tenter de répondre à la
lueur de ce qu’en disent nos maîtres…