Revivre l’horreur d’Auschwitz, 70 ans après

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Le 14 juin 1940 partait le premier train pour le camp d’Auschwitz avec à son bord  des prisonniers politiques polonais.

70 ans après le début de ce qui allait être l’enfer sur terre, des survivants refont le trajet long de 140 km séparant la ville polonaise de Tarnow de celle d’Oswiecim, emplacement du camp d’Auschwitz.
À l’heure où le devoir de mémoire est une question de plus en plus sensible, cette commémoration a toute son importance.

En 1940, les 728 hommes de la prison de Tarnow furent les premiers à vivre le scénario cauchemardesque qu’allaient connaître après eux des millions d’innocents.

Entassés dans des wagons à bestiaux sous une chaleur insoutenable, ils partirent pour une destination inconnue.

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Un géant de la Torah nous quitte !

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Il n’était pas seulement un  » rav  » : c’était un guide, un maître, un père… Le départ de ce monde du Gaon rav Mordé’haï Éliahou, zatsal, a rendu des centaines de milliers de Juifs orphelins. C’était vers lui qu’ils se tournaient lorsque tout semblait perdu, c’était à lui qu’ils demandaient conseil lorsque la vie les éprouvait, et c’était pour lui qu’ils ont prié durant les deux années de sa maladie. Portrait de l’un des géants de la Torah de notre génération.

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La reaction des rabbanim face à l’évènement des flotilles

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Rav Daniel Abdelhak, rav de la communauté d’Ohaley Yaacov – Paris 19e
 » Le mouvement universel de protestation contre Israël auquel nous assistons depuis quelques jours a permis à ceux qui se berçaient encore d’illusions, de prendre la véritable mesure de la réalité ! Pour le monde en effet, il est devenu naturel qu’Israël subisse des attaques terroristes en permanence. Toute mesure défensive qu’Israël pourrait prendre pour protéger sa population et réduire ces agressions devient donc « inadmissible ». C’est comme si, inconsciemment, le monde entier scandait :  » Non ! Israël n’a pas le droit à la légitime défense. Il doit remplir son rôle de victime « .

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Le Rav Mordechai Eliahou zal ancien Grand Rabbin d’Israel a quitté ce monde

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ברוך דיין האמת Le Rav Mordehaï Eliahou, ancien grand rabbin d’Israël, est décédé lundi après-midi des suites d’une longue maladie. Il était âgé de 81 ans. Cela faisait déjà un certain temps qu’il était soigné au département des soins intensifs de l’hôpital Shaaré Tsedek à Jérusalem après plusieurs accidents cardiaques et une hémorragie cérébrale. Mais malgré la gravité de son état, il a connu des rémissions spectaculaires et miraculeuses que les médecins ne s’expliquaient pas. Malheureusement, il s’est affaibli ces derniers jours et a finalement succombé à la grave maladie dont il était atteint.

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Communiqué important du consistoire de Paris

Le Beth Din de Paris vous informe qu’après vérification de la Direction de la Cacherout, il s’avère qu’ont été introduits par erreur, des boyaux d’agneaux non cachers dans les merguez fabriquées par la Société André KRIEF en Normandie.

Seules les merguez vendues à Paris et en région parisienne sont concernées.

C’est pourquoi, nous informons la communauté juive, que quiconque a acheté ces merguez et s’en est servi à chaud, doit impérativement faire une « Hagala » (cachérisation) de ses ustensiles (poêles, assiettes et couverts).

Nous avons immédiatement mis en place une série de décisions rabbiniques drastiques afin de garantir qu’un fait de cette gravité ne se renouvelle pas.

Le problème ne concerne que les merguez et en aucun cas la charcuterie ou les saucisses.

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Dons d’énergie




C’est dans la paracha de Chéla’h-Lékha qu’est énoncé l’ordre de la Torah relatif
à la « ‘hala ». Ce terme, que l’on attribue généralement aux pains du Chabbat,
désigne en réalité l’un des dons parmi beaucoup d’autres que l’on offrait à la
tribu des Cohanim.

Il existe en effet une somme remarquable
de dons que la Torah
nous enjoint d’offrir à la
tribu des Cohanim – beaucoup
d’entre eux venant sous la forme
de « prélèvements » – s’élèvant
en tout, au nombre de 24 (Traité
talmudique ‘Houlin, page 133/b).
Parmi les plus connus d’entre eux,
il y a la « térouma » – c’est-à-dire
la dîme prélevée par ordre de la
Torah sur les céréales, les raisins
et les olives de la Terre d’Israël -,
les « Bikourim » – les prémices des
fruits de la terre que l’on apportait
chaque année au Temple –, ou enfin
celle dont il est question ici : la
« ‘Hala » prélevée sur la pâte destinée
à faire du pain. Ce prélèvement
doit être d’au moins 1/24e de
la pâte pétrie quand celle-ci s’élève
à un volume total d’environ deux
litres et demi. En fait, l’obligation
de ce prélèvement reste en vigueur
encore de nos jours, bien que les
Cohanim ne soient plus en mesure
de consommer ces morceaux
de pain, et – par ordre rabbinique
– elle s’applique en tout point du
monde « afin que le principe de la
‘hala n’en vienne pas à être oublié »
(Rambam, Hilkhot Bikourim, 5, 7).
Or ces différentes offrandes, parmi
plusieurs autres, ne sont imposées
par la Torah qu’en Eretz-Israël
seulement dans la mesure où,
semble-t-il a priori, ce devoir ne
s’applique que sur les produits de
la Terre sainte. C’est en effet en ces
termes que Maïmonide mentionne
le principe de ces dons : « 8 de ces
24 dons, les Cohanim ne pouvaient
les consommer qu’à l’intérieur du
Temple : (…) 5 dons à Jérusalem,
(…) 5 autres dons auxquels ils
n’avaient droit par prescription de
la Torah qu’en Eretz-Israël uniquement
– (…) la térouma, la téroumat
maasser, la ‘hala etc. », (ibid. 1, 3-
6).

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