Réeh : Observe et entends
Accepter les paroles de nos Sages n’est pas évident pour tous. Ainsi, certains acceptent volontiers les prescriptions de la Torah, mais éprouvent plus de difficultés à l’égard des décrets rabbiniques.
DétailsAccepter les paroles de nos Sages n’est pas évident pour tous. Ainsi, certains acceptent volontiers les prescriptions de la Torah, mais éprouvent plus de difficultés à l’égard des décrets rabbiniques.
DétailsRav Yossef de Sloutsk rappelle l’enseignement de la Guemara (Qiddouchin 40b) : « Heureux est celui qui accomplit ne serait-ce qu’une seule mitswa, car il fait pencher la balance de la justice non seulement en sa faveur, mais pour le bien du monde en général ! »
DétailsHaftarath Reèh – Oï , quiconque a soif, allez vers l’eau, et qui n’a pas d’argent, allez, achetez et mangez ; et allez, achetez sans argent et sans prix du vin et du lait » (55, 1)
DétailsLe chant Yah ribbon ‘olam a été composé par rabbi Israël ben Moché Najara (1555-1625).
Né à Damas, il a été rabbin à Gaza, où il s’est révélé comme kabbaliste, comme commentateur biblique et comme poète.
« Or, si vous êtes dociles aux lois que Je vous impose en ce jour, aimant l’Éternel, votre D.ieu, Le servant de tout votre cœur et de toute votre âme. » (Devarim 11, 13). Rachi ajoute : « Un service qui est dans le cœur, à savoir : la prière. »
DétailsRÉFLÉCHIR SUR le sens de la justice, c’est forcément poser la distinction entre son application et son fondement. Car on ne saurait parler du bien-fondé de la loi si nous ne pouvions faire référence au point extérieur de la justice qui la commande et lui assure sa légitimité.
DétailsLe mot hébreu « éqèv » , que nous avons traduit par « parce que », peut également signifier « talon ». Selon la Michna (Avoth 1, 4), fait remarquer le Hatham Sofèr, la connaissance de la Tora s’acquiert « en s’asseyant à la poussière des pieds [des Sages] et en buvant avidement leurs paroles ».
DétailsLe 15 Av (Tou Be Av) est, dans la tradition juive, une date particulière du calendrier comme le souligne la Michna : ‘Il n’y a pas de meilleurs jours pour Israël que Tou BeAv et Yom Kippour’.
DétailsDans la paracha de Ekev, Moché s’adresse au peuple hébreu en ces termes : « Écoute Israël, tu franchis à présent le Jourdain (…) rappelle-toi, n’oublie jamais combien tu as mécontenté l’Éternel ton D.ieu, (…) vous vous étiez fait un veau de métal », (Dévarim, 9, 1- 16).
DétailsCe chant porte un titre qui rappelle un verset du Cantique des cantiques (7, 7) : « Que tu es belle, et que tu es agréable… ! » Il évoque, dans des formulations poétiques parfois obscures, et souvent difficiles à traduire, divers Midrachim et diverses halakhoth applicables au Chabbath. On attribue ce chant à Mordekhaï bar Yits‘haq, un poète du treizième siècle, que certains identifient à l’auteur de Maoz tsour.
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