Le sort de Guilad Shalit suspendu à de nouvelles négociations


Le sort de Guilad Shalit, retenu captif par le Hamas depuis plus de quatre ans, avait été laissé au second plan au moment de la reprise des négociations israélo-palestiniennes. Mais le médiateur allemand dans ce dossier, Gerard Conrad semble avoir repris le chemin de la bande de Gaza après six mois d’absence.

Le Premier ministre a confirmé l’information le 17 octobre sur les ondes nationales. Mais les discussions en vue de sa libération ont-elles une chance d’aboutir après l’immense espoir déçu de l’année dernière ? Le Hamas reste inflexible sur sa monnaie d’échange : la libération de 450 prisonniers palestiniens dont certains qui « ont du sang sur les mains ».
 

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L’heure d’hiver fait toujours polémique

Près de 250 000 signatures ont été recueillies contre ce changement, appliqué chaque année à l’époque de Rosh Hashana. Les protestataires mettent en avant la nécessité d’alignement de cette mesure sur le calendrier européen. Mais c’est aussi un nouveau bras de fer entre les partis religieux et les partis laïques du gouvernement israélien, relancé cette semaine au parlement israélien. 

Le décalage de quelques semaines entre le moment ou européens et israéliens règlent leurs montres occasionneraient de lourdes pertes économiques à tous ceux exerçant une activité professionnelle avec l’étranger.

 

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Les grandes réformes de la Rabanout

La nouvelle a été confirmée lors d’un débat à la Knesset, elle concerne… les candidats à la certification de Rav. Il s’agit en fait de décider d’un délai acceptable pour la correction des épreuves afin de cesser de faire indéfiniment patienter les personnes inscrites à cet examen. Les résultats seront dès à présent communiqués aux candidats dans un délai de 90 jours pour les examens liés à la Rabanout, et quatre mois pour les Dayanim.

Le débat a été provoqué par deux députés religieux, Ouri Orbakh (Baït Yehoudi), et Yaakov Katzs (Union nationale), à la suite de nombreuses plaintes de candidats, qui ont parfois attendu plus de deux ans avant de connaître leurs résultats à de tels examens.
 

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Sépharades / Ashkénazes : Un débat exacerbé

 Le fils du Rav Ovadia Yossef tranche dans un dossier complexe et sensible : un hozer bitchouva doit selon lui se conformer au rituel sépharade, et ce même s’il est d’origine ashkénaze…

Le Rav Avraham Yossef, Rabbin de la ville de Holon au centre d’Israël s’aventure une fois de plus sur un terrain glissant. Interrogé au cours d’un débat organisé par le site Moreshet, il fait le point sur la contradiction apparente entre la nécessité de se conformer selon lui à la tradition sépharade en terre d’Israël, et l’obligation pour tout homme de respecter le rituel communautaire en fonction de l’origine de sa famille.

Et puisqu’il faut trancher pour les cas difficiles, Rav Avraham Yossef souligne que toute personne issue d’une famille religieuse doit suivre la tradition de ses parents, mais si un homme ou une femme d’un milieu non religieux décide de commencer à respecter les lois de la thora, il devra se conformer au rituel de la communauté sépharade.  

Cette décision est en fait une nouvelle façon pour le fils de l’ancien grand rabbin sépharade d’Israël de critiquer les sépharades qui tentent d’aligner leur apparence et leurs pratiques religieuses sur celles des ashkénazes dans l’espoir d’une meilleure intégration.
 

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