Yah Ribbon Olam – Zemirot Chabbat 4
Le chant Yah ribbon ‘olam a été composé par rabbi Israël ben Moché Najara (1555-1625).
Né à Damas, il a été rabbin à Gaza, où il s’est révélé comme kabbaliste, comme commentateur biblique et comme poète.
Le chant Yah ribbon ‘olam a été composé par rabbi Israël ben Moché Najara (1555-1625).
Né à Damas, il a été rabbin à Gaza, où il s’est révélé comme kabbaliste, comme commentateur biblique et comme poète.
« Or, si vous êtes dociles aux lois que Je vous impose en ce jour, aimant l’Éternel, votre D.ieu, Le servant de tout votre cœur et de toute votre âme. » (Devarim 11, 13). Rachi ajoute : « Un service qui est dans le cœur, à savoir : la prière. »
DétailsRÉFLÉCHIR SUR le sens de la justice, c’est forcément poser la distinction entre son application et son fondement. Car on ne saurait parler du bien-fondé de la loi si nous ne pouvions faire référence au point extérieur de la justice qui la commande et lui assure sa légitimité.
DétailsLe mot hébreu « éqèv » , que nous avons traduit par « parce que », peut également signifier « talon ». Selon la Michna (Avoth 1, 4), fait remarquer le Hatham Sofèr, la connaissance de la Tora s’acquiert « en s’asseyant à la poussière des pieds [des Sages] et en buvant avidement leurs paroles ».
DétailsLe 15 Av (Tou Be Av) est, dans la tradition juive, une date particulière du calendrier comme le souligne la Michna : ‘Il n’y a pas de meilleurs jours pour Israël que Tou BeAv et Yom Kippour’.
DétailsDans la paracha de Ekev, Moché s’adresse au peuple hébreu en ces termes : « Écoute Israël, tu franchis à présent le Jourdain (…) rappelle-toi, n’oublie jamais combien tu as mécontenté l’Éternel ton D.ieu, (…) vous vous étiez fait un veau de métal », (Dévarim, 9, 1- 16).
DétailsCe chant porte un titre qui rappelle un verset du Cantique des cantiques (7, 7) : « Que tu es belle, et que tu es agréable… ! » Il évoque, dans des formulations poétiques parfois obscures, et souvent difficiles à traduire, divers Midrachim et diverses halakhoth applicables au Chabbath. On attribue ce chant à Mordekhaï bar Yits‘haq, un poète du treizième siècle, que certains identifient à l’auteur de Maoz tsour.
DétailsLa Paracha Ekev met l’accent sur les valeurs «matérielles » d’Eretz Israël. C’est ainsi que la qualité de son blé et de son orge, de ses raisins et de ses figues, de ses grenades, de ses olives et de ses dattes illustre l’ampleur des bénédictions divines toutes spéciales accordées à cette terre.
DétailsOn entonne ce chant le vendredi soir, avant de passer à table et de réciter le Qiddouch.
Le nom de son auteur, qui a vécu au dix-septième siècle, est resté inconnu.
Dans le premier chapitre du Traité talmudique Berakhot (page 2/b), nos Sages enseignent que s’il est fait mention – dans le troisième paragraphe du Chema Israël – du commandement des Tsitsit qui ne s’applique pourtant qu’en journée, « il nous faut malgré tout réciter ce paragraphe le soir afin d’évoquer la sortie d’Egypte la nuit, c’està- dire pour inclure les temps messianiques.
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