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En réponse à un article concernant la finance juive qui circule actuellement sur divers forums et blogs, nous avons souhaitez rapporter la réponse et analyse .
Cet article constitue une réponse claire et précise aux attaques mensongères dont a fait l’objet le texte du Talmud et en donne une lecture juste et fidele qui n’a rien à voir avec la pseudo traduction proposée.
Il nous a semblé important de réagir face à la désinformation et  à la propagande afin de montrer une fois de plus, que le respect et la tolérance sont des valeurs prônées de tout temps par le Judaïsme, et que celles-ci émergent de toute part du corpus talmudique.
A l’inverse le manque d’éthique de la finance juive est dans le corpus même du Talmud comme en témoigne les extraits suivants :
Babba Bathra 54b: « La propriété du non-juif appartient au Juif qui l’utilise le premier.”
Baba Kamma 37b: “Les non-juifs sont hors de la protection divine et Dieu a exposé leur argent à Israel”.
Baba Kamma II 3a: « Les Juif s peuvent mentir (utiliser des subterfuges pour tromper les non-juifs ». 
Baba Kamma 113a: « Tout Juif est autorisé à mentir et à être parjure pour ruiner un non-juif. »
Choschen Ham 156, 5 Hagah: « Le Juif est autorisé à faire commerce avec le Gentil (non-juif), le tromper et prendre son argent parce que la richesse des non-juifs doit être considérée comme une propriété commune qui appartient au premier qui peut en prendre possession. »
Choschen Ham 183, 7: « Si deux juif s ont trompé un non-juif ils doivent partager le profit. »
Choschen Ham 266, 1: « Un juif peut garder tout ce qu’il trouve si ce qu’il a trouvé appartient à un non-juif. Celui qui retourne un bien à un non juifaccroît la puissance des non-juifs. Il est louable toutefois de retourner le bien au Gentil si cet acte conduit les non-juifs à considérer les juif s comme honorables ».
Sanhedrin 57a: “Un juif peut ne pas payer le Gentil pour le travail effectué par celui-ci.” 
Schabouth Hag. 6b: « Les Juif s peuvent prêter un faux serment par subterfuge (en jouant sur le sens des mots).  » 
Talmud IV/1/113b: « Le Juif est autorisé à exploiter l’erreur d’un non-juif pour le tromper”.
Talmud IV/2/70b: « Le Juif est autorisé à pratiquer l’usure sur le non-juif.”
Sotah, 12a: « L’argent du Juif pieux est plus précieux pour lui que son propre corps.”
Schulchan Aruch, Choszen Ham iszpat 348: “Toute la propriété des autres nations appartient à la nation juive qui est par conséquent habilitée à s’en saisir sans scrupules.”
source: http://www.paperblog.fr/2166752/finances-islamique-vs-finances-juives/
Réponse:
j’ai repris le mail avec les arguments dans l’ordre, je les ai numerotés et y ai repondu en bleu.
 
 
A l’inverse le manque d’éthique de la finance juive est dans le corpus même du Talmud comme en témoigne les extraits
suivants :
1)  Babba Bathra 54b: « La propriété du non-juif appartient au Juif qui l’utilise le premier.”
 
Ceci est une diffamation d’un ignorant qui ne sait pas lire l’araméen. Ceci n’est écrit nul part. Mais je vais tout de meme citer ce qui y est ecrit pour clarifier d’où vient l’erreur.
 
Le texte dit : la propriété de l’idolâtre est comme le désert (= « efker » = disponible à tout acquéreur éventuel) [une fois vendue à un juif] (c-à-d qu’une autre personne que le juif qui vient de payer, peut techniquement saisir ce terrain par le biais d’une « hazaka » une fois que l’idolâtre l’a vendu et s’est donc retiré, avant que le juif acquéreur ne reçoive le contrat)quelle en est la raison? C’est parce que dès que l’idolâtre reçoit l’argent, il est retiré (« estalek ») de l’affaire (c-à-d que le terrain ne lui appartient plus) tandis que le juif acquéreur n’en devient alahiquement le propriétaire qu’après avoir reçu un contrat [de la part de l’ancien propriétaire] .
-fin de citation-
 
donc si quelqu’un vient prendre possession du terrain par un kinian/hazaka entre les deux opérations il en devient le propriétaire alahique –et c’est le juif qui est perdant et non l’idolâtre- et ce filou qui est venu prendre le terrain entre les deux opérations devra rembourser la somme déboursée, et de plus il est considéré comme un impie pour avoir fait cela.
 
Voir la conclusion détaillée dans le Shulhan arouh hoshen mishpat 194-2 (voir aussi dans rashi ad loc) où il est explicite que:
 
1) c’est interdit de le faire (mikré rasha)
2) il devra rembourser la somme ( venoten larishon et adamim)
3) que tout ceci n’est valable que dans le cas où il n’y a aucune autre loi locale mais si la loi du pays est différente et stipule qu’il ne devient pas possesseur du terrain , on suit la loi du pays.   (bamé dvarim amourim bemakom shéein mishpat yadoua lameleh, aval im …. Ossim kefi mishpat ameleh)
 
 
2)   Baba Kamma 37b: “Les non-juifs sont hors de la protection divine et Dieu a exposé leur argent à Israel”.
 
Ça c’est faux. Premièrement la référence n’est pas exacte, c’est baba kamma 38a , et ensuite ce n’est pas exactement ce qui y est écrit ,en effet, il ne s’agit pas d’être en dehors de la « protection divine » mais de ne pas respecter les commandements divins, c-à-d les 7 lois noahides (ne pas tuer, ne pas voler, ne pas commettre d’adultère, ne pas pratiquer l’idolâtrie, ne pas arracher et consommer un membre d’un animal vivant, ne pas maudire Dieu, et instaurer la justice c’est-à-dire vivre dans un pays qui a une justice, des tribunaux etc… ) et il est donc dit que Dieu a « exposé » l’argent des personnes qui transgressent ces lois noahides (les voleurs assassins etc…).
et encore cela ne signifie pas qu’il soit permis de les voler mais simplement de ne pas leur courir après pour leur restituer une erreur de monnaie de leur part en leur défaveur ,
c-à-d que si un assassin voleur… me rend trop de monnaie (après lui avoir acheté qqchose) je ne suis pas tenu de le lui faire remarquer dans la mesure où c’est lui qui s’est trompé et pas moi qui l’ai trompé.
 
Et la raison est qu’étant donné que cette personne est dangereuse et fait le mal sur terre, même s’il est évidemment interdit de le voler, il est permis de ne pas lui restituer ce genre d’erreur pour ne pas lui permettre de commettre de nouveaux crimes avec cet argent.
 
Mais bien entendu il ne s’agit pas de n’importe quel non-juif comme ce que veut le laisser croire la personne qui a cité cette reference (sans avoir verifié la source).etant prompte à croire tout le mal que l’on peut inventer sur les juifs, malgré le ridicule que comporte ces accusations.
 
D’ailleurs sur la page en question dans tous les talmuds du monde, il y a les gloses « shita mekubetset » (en bas à gauche de la page) où est cité le Méiri (célèbre commentateur du talmud –tout début du XIVème siècle- ) qui écrit clairement que ceci ne concerne que ceux qui transgressent les 7 lois noahides et qui sont par conséquent des barbares sans foi ni loi, mais un peuple qui respecte les 7 lois noahides et à plus forte raison qui respecte un quelconque code religieux ou civil ( oumot agdourot bedarkei datot ounimoussim) est évidemment exclu de ces considérations.
 
Est aussi imprimé, sur la meme page, le commentaire du rabbin Jonathan (fin du moyen-âge)qui souligne clairement que cette loi ne concerne que les vilains bandits cruels et enclin à transgresser tous les préceptes des  » 7 preceptes noahides » (ahzarim velev ra laem vehashoudim al kol sheem metsouvin mishéva mitsvot…)
 
Enfin, bref, on pourrait multiplier les références parmi les commentateurs mais à quoi bon?
Il semble clair que la personne en question est aussi mal intentionnée. Car pour ne pas voir au moins ce qui est imprimé sur la page meme, il faut vraiment beaucoup de mauvaise volonté, il faut donc en conclure qu’elle n’est pas allée vérifier dans le texte avant de porter ces accusations.
 
 
 
3)  Baba Kamma II 3a: « Les Juifs peuvent mentir (utiliser des subterfuges pour tromper les non-juifs ». 
4)  Baba Kamma 113a: « Tout Juif est autorisé à mentir et à être parjure pour ruiner un non-juif. »
 
Il faudrait organiser un concours du baratineur effronté, je crois que notre antisemite a toutes ses chances pour remporter le 1er prix.
Car une fois de plus tout ceci est faux et ne figure pas dans les textes en question.
 
[Evidemment la technique qui consiste à inventer que les juifs peuvent mentir pour tromper les non-juifs, lui permettra de traiter ce que je vais ecrire de mensonge en disant que le juif ment pour tromper le non-juif.  La belle affaire!
Mais manque de pot pour notre écervelé, il y a encore sur terre des non juifs qui savent lire et comprendre l’araméen, et ils pourront
témoigner –eux qui ne sont pas sensés mentiraux non-juifs- que le menteur ici c’est bien l’auteur de ce ramassis de references falsifiées].
 
Ici encore je vais devoir citer ce qui est ecrit dans ces textes afin de clarifier d’où vient l’erreur – ou comment le texte a été tordu et déformé.  
 
Le talmud dit qu’il est interdit de revêtir un habit comportant du shaatnez (lin et laine. Cf. Levitique XIX , 19) meme en dixieme epaisseur (et donc il ne tire pas profit de l’habit) dans le but de dissimuler un habit à la douane.
 
Le talmud s’étonne et demande  qu’il est interdit de tricher sur la douane et qu’il faut respecter les lois et payer la douane!
 
et il répond qu’il s’agit d’un cas où il est permis de tricher sur la douane; dans le cas où le douanier profite de sa situation et prend plus que la part qui lui revient, il est donc permis de dissimuler une partie de la marchandise afin de ne payer que ce que l’on doit réellement payer d’apres la loi locale, sauf s’il est necessaire pour cela de transgresser l’interdit de shaatnez, là il faudra se résigner à se faire arnaquer par ce douanier malhonnête.
 
Suite à cela le talmud propose une deuxieme possibilité (qui justifierai le fait de dissimuler des habits pour eviter de payer la douane): si le douanier est kananéen (et que l’argent des douanes lui revient).
 
Aussitôt le talmud s’etonne et dit qu’il est malgré tout interdit de voler un kananéen
et le talmud repond qu’il est interdit de le voler, mais qu’il est permis de ne pas lui donner tout ce qu’il reclame (en dissimulant une partie des habits sous d’autres habits – toujours s’il n’y a pas d’infraction de shaatnez-) .
et là encore il ne s’agit pas des non-juifs de manière generale mais bien du kananéen qui ne respectait pas les 7 lois noahides.
 
Et là encore , sur la page meme, dans tous les talmuds du monde, il est ecrit (toujours « shita mekoubetset » par le Méiri): et ceci ne concerne evidemment que les kananéens adorateurs d’idoles, voleurs, et qui n’ont aucun code de loi etc… (vezé davka beknaanim ovdé élilim, anassim, shéeynan gdourim bedarkei adatot ….)
 
Une fois de plus nous constatons que l’accusateur ne s’est pas donné la peine de verifier si ce qu’il avançait était vrai.
 
Bref , il est vraiment ridicule ce type, quand on ne sait pas lire l’araméen (ou au moins l’hebreu), on ne commence pas à citer des references accusatrices dans ces langues!
 
References qui sont apparement empruntés à la vaste littérature antisemite de la fin19ème – debut du 20ème siecle – époque sombre où l’on se permettait de fausser les textes, etant assuré que personne n’irait verifier.
Mais voilà, certains sont allés verifier et se sont rendu compte de ces nombreuses falsifications, ce qui a couvert de honte les auteurs en question de telle sorte que ces ouvrages ne sont que de l’histoire ancienne sans crédit.
 
(ma bibliothèque personnelle contient une cinquantaine d’ouvrages de ce genre, tous de l’epoque en question, et actuellement non réédités depuis belle lurette.
La lecture de ces livres m’a permis de constater que dans 90% des cas l’auteur ne comprend pas l’araméen ni l’hebreu, et se contente de citer ce que d’autres de ses collègues ont dejà cité ou ce qu’une connaissance qui lit l’araméen lui a dit, aussi, ils ne se donnent jamais la peine d’essayer de verifier un tant soit peu, que ce soit en questionnant des non-juifs qualifiés en langues semitiques, ou en utilisant des dictionnaires ou des traductions des textes etc… et se permettent meme de supprimer quelques mots des references dejà falsifiées par leur prédécesseurs, afin d’agraver encore la situation à leur gout.)
Mais voilà qu’une personne mal intentionnée ressort ces citations falsifiées du placard et s’imagine qu’elle pourra faire circuler ces affabulations qu’elle aurait tant voulues pour justes.
 
 
5)  Choschen Ham 156, 5 Hagah: « Le Juif est autorisé à faire commerce avec le Gentil (non-juif), le tromper et prendre son argent parce que la richesse des non-juifs doit être considérée comme une propriété commune qui appartient au premier qui peut en prendre possession. »
 
Ici encore c’est de la mauvaise volonté.
 
Tout d’abord la reference correcte est Hoshen mishpat 156,5 , et pareil dans les suivantes nommées choschen ham il faut dire hoshen mishpat (ou choshen mishpat, la 1ère lettre est un Het).
 
Ensuite, de nouveau, il ne s’agit pas du « Gentil » ni du « non-juif » mais du « oved kohavim oumazalot » – en abregé: « akoum » –  soit l’adorateur d’etoiles et d’astres.
 
c-à-d l’idolatre qui adore les etoiles et s’en remet entierement à ces dernieres, qui –selon lui- ne lui interdisent pas le meurtre ni le vol etc… tout comme ces adorateurs du Baal dont la Bible parle; des barbares qui sacrifiaient des enfants dans le feu pour leurs idoles, qui pratiquaient l’inceste et autres crimes au nom des etoiles.
 
La phrase citée est en fait la meme que la 1èrereference citée (de baba bathra 54 b) que les biens du « oved kohavim » sont comme « efker » ce qui ne permet pas de les lui voler mais seulement de ne pas lui restituer etc… comme on l’a vu plus haut. Donc la reponse à cette accusation est celle que j’ai ecrite plus haut en reponse à la 1ère citation.
 
(baba bathra 54 b est la source dans le talmud tandis que hoshen mishpat 156, 5 est la source dans le shoulhan arouh qui est le code de loi redigé en résumé du talmud, c’est donc 2 fois la meme source.
 voir d’ailleurs le « beer agola » ad loc qui cite les sources des lois citées dans la shoulhan arouh [il est imprimé sur la page meme dans toutes les editions du shoulhan arouh] qui renvoi à baba bathra 54 b).
 
Quand j’y pense, c’est assez burlesque, je suis en train de repondre à un antisemite qui accuse le judaisme de racisme, alors qu’en fait c’est lui le raciste qui pense du mal des autres peuples!
 
6)  Choschen Ham 183, 7: « Si deux juifs ont trompé un non-juif ils doivent partager le profit. »
 
Encore une fois , c’est faux!
il n’est pas question de non-juif, mais de « akoum » (= abregé de « oved kohavim oumazalot » = adorateur d’etoiles et d’astres…).
 
Et voici ce qui y est dit: si Mr X envoie Mr Y recuperer de l’argent qu’un « akoum » (=criminel…)lui devait, et que ce « akoum » se trompe et donne plus que la somme due, Mr Y s’il s’en est rendu compte peut l’empocher.
Par contre si Mr X n’envoyait pas Mr Y recuperer une dette du « Akoum », mais que Mr X et Mr Y vendaient quelque chose au « Akoum » et que ce akoum s’est trompé etc… là Mr Y doit partager la somme en question avec Mr X.
 
Et encore une fois tout ceci n’est pas applicable vis-à-vis d’un non juif « normal » ( = qui n’est pas assassin voleur etc…).
 
Je dirai meme plus: un non-juif « normal » aussi est tenu comme les juifs de ne pas restituer l’erreur de monnaie du « akoum » au « akoum », (car ce dernier l’utiliserait pour ses crimes, comme par exemple pour payer un tueur professionnel pour un contrat) .
Mais il est malgré tout interdit de le voler « directement » –et ce meme s’il ne s’en rend pas compte, car « voler » est mauvais et c’est la porte ouverte à d’autres délits, mais aller lui rendre la difference de monnaie lorsqu’il s’est trompé n’est pas jugé convenable dans la mesure où l’on sait qu’il en fera un usage criminel.
 
Et bien entendu, comme toujours en matiere d’argent , si la loi locale interdit cette pratique et oblige le citoyen à rendre une erreur de monnaie meme à un assassin, le juif est tenu de suivre la loi locale et d’aller rendre la somme –meme infime, et à plus forte raison si elle est importante- au « Akoum » assassin ,et ce, meme si l’on sait clairement que le Akoum prepare un mauvais coup.
Car en matiere d’argent , tout juif est tenu par le talmud (nedarim 28a, baba kama 113a et 113b,  guitin 10b, baba bathra 54b et 55a) de donner la priorité aux lois du pays (=Dina demalouta dina).
 
 
7)  Choschen Ham 266, 1: « Un juif peut garder tout ce qu’il trouve si ce qu’il a trouvé appartient à un non-juif. Celui qui retourne un bien à un nonjuif accroît la puissance des non-juifs. Il est louable toutefois de retourner le bien au Gentil si cet acte conduit les non-juifs à considérer lesjuifs comme honorables ».
Encore du mensonge et rien que du mensonge.
Je vais donc citer le texte , voici ce qui y est dit:
l’objet perdu par un « akoum » est permis (à celui qui le trouve). et celui qui le restitue commet un peché car il lui permettra de commettre des crimes avec. (=avedat akoum mouteret. Veamahzira aré zé over avéra mipné shéou mahzik yedé ovré avéra).
 
Encore une fois il ne s’agit que du akoum (ayin – kaf – vav – mem = initiales de Oved Kohavim OuMazalot = adorateur d’etoiles et d’astres= assassin voleur sans foi ni loi).
Il est donc évident que cette loi ne s’applique pas en France par exemple, tant que la personne qui a perdu l’objet n’est pas Jacques Mesrine.
Ni non plus dans n’importe quel pays civilisé où les habitants ne sont pas des barbares, ce qui, Dieu merci est de plus en plus rare sur terre(qu’un endroit ne soit pas régit par des lois de telle sorte que n’importe lequel de ses habitants serait un danger public).
 
Voir aussi dans le commentaire du Meiri sur Sanhedrin 76b (dans l’edition classique de zihron yaakov 1978, c’est tome 6 page 73 en bas) que cette loi ne concerne evidemment que les « ovdé aélilim vekayotsé baem mibaalé aémounot akdoumot… »  = les adorateurs d’idoles et ceux qui leur ressemblent parmi ceux des croyances anciennes – comme les adorateurs du Baal etc…
 
Là aussi on pourrait multiplier les sources dans les commentaires mais c’est tellement évident et simple que ça devient un peu ridicule.
 
 
J’ai peine à croire que l’auteur de ces references n’aie pas honte de falsifier systematiquement les textes.
C’est pourquoi j’ai dejà ecrit plus haut que je suis sûr que c’est en fait une liste de references toute faite qu’un leger d’esprit s’est contenté de reproduire, mais il n’est certainement pas allé verifier si ce qu’il ecrivait était réellement marqué dans ces livres.
 
Il faut peut-etre juger cet personne avec indulgence, il doit etre jeune et enclin à faire confiance à n’importe quel informateur pourvu que cela le conforte dans ses opinions antisemites basées sur des héritages de gens tordus ou naïfs qui ont cru eux aussi à leur epoque tout ce qu’il trouvaient de negatif sur les juifs dans les ecrits antisemites.
 
Franchement toutes ces âneries sont démodées, c’est triste qu’il en soit encore là, c’est une pensée du moyen-âge que certains ont du mal à digérer et ils restent encore avec leur idées racistes envers et contre toute l’humanité éclairée qui a dejà reconnu le ridicule de ce vice.
 
Je lui conseillerai de se documenter un peu, et de ne pas s’abreuver qu’à une source.
De reflechir au fait que de nombreuses personnes qu’il juge positivement le jugeraient, lui, comme un idiot fini s’ils savaient qu’il en était encore à ce stade d’antisemite arriéré.
 
Meme parmi les musulmans – chez lesquels on trouve pourtant aujourd’hui les meilleurs représentants de l’antisémitisme borné, il y en a de nombreux qui n’ont pas honte de dire clairement que c’est de la bêtise entretenue au sein du peuple arabe par des imams fanatiques et stupides.
 
J’ai personnellement discuté et me suis lié d’amitié avec des musulmans qui fréquentent des mosquées dignes de ce nom et un imam digne de son titre, et je peux vous assurer qu’il ont terriblement honte des derives de certains de leur coreligionnaire, qui selon eux « font honte à l’islam ».
 
 
8)  Sanhedrin 57a: “Un juif peut ne pas payer le Gentil pour le travail effectué par celui-ci.”
 
Là aussi (ça devient lourd, ils auraient pu diversifier les methodes de falsification !) il ne s’agit que d’un idolatre mais pas du « Gentil ». 
voir aussi le Meiri ad loc (tome 6 page 59 en haut) je cite:
« mais s’il s’agit d’un non juif qui respecte les 7 lois noahides il n’est pas concerné , car tout non-juif qui respecte les 7 loi noahides (=qui est civilisé et honnete) fait partie des « justes des nations » (hassidé oumot aolam) et des gens qui respectent une religion, et il aura part au monde futur (veyesh lo helek leolam aba) ».
 
Ah oui, parce qu’il faut preciser qu’avec toutes les critiques sur le judaisme de la part des autres religions [–surtout le christianisme dans le passé et l’islam de nos jours ], il ne faut pas perdre de vue que le judaisme est la seule religion qui NE PEUT PAS TOLERER DE DISCRIMINATION RACIALE dans la mesure où c’est la seule (contrairement aux deux autres citées) qui prevoit aussi un rôle aux autres peuples (et pas seulement à ses adeptes) et leur reserve la félicité dans le monde futur s’ils se conduisent bien (selon l’entendement moral ; ce qu’on appelle respecter les 7 lois noahides). C’est pour cela que c’est la seule religion qui ne prone pas le proselytisme, en effet puisqu’on peut etre un non-juif tout en etant aimé de Dieu en se comportant bien (les 613 commandements ne concernant que les juifs) , il n’y a pas de raison de vouloir convertir un non juif au judaisme.
Un bon musulman ou un bon chrétien sera accueilli par Dieu les bras ouverts, pas la peine de se convertir au judaïsme, lorsqu’on n’est pas juif on peut le rester.
 
Par contre les musulmans ont versé des fleuves de sang pour débarrasser la planete des « chiens d’infideles » surtout au 7ème siecle puis du 10èmeau 12ème siecle et enfin de nos jours, fin 20èmeet debut 21unieme  siecle avec le chien de fidèle « Ben Laden » [qui selon moi n’est qu’un chien d’infidèle à l’islam authentique et à Allah] et ses disciples.
 
Et que dire de « la religion de l’amour » qui a des millions et des millions de morts sauvagement torturés sur la conscience, surtout du 10ème au 17ème siecle ,les croisades, l’inquisition, le rapt d’enfants, les assassinats organisés…
Je me demande (en additionnant ces siecles) s’ils n’ont pas depassé le nombre de victimes des nazis.
Et je suis sûr que Jésus n’est pas très fier de cette competition avec Hitler.
 
Tandis que le judaisme promet la felicité dans le monde futur à tout homme integre sans distinction de race ni de couleur ni de sexe ni de religion.
Voir par exemple Tana debé éliaou §9 au debut: »je prends à témoin le ciel et la terre que tout homme, juif ou non juif (beyn israel beyn nohri),homme ou femme, esclave ou servante, en fonction de ses actes l’esprit saint (rouah akodesh)l’habitera » .
 
c-à-d que meme l’esprit saint peut etre atteint par tout homme, juif ou non-juif, sans distinction de religion, ni de sexe, ni de classe sociale. Dieu est proche de tout homme integre.
 
Voir aussi sanhedrin 59a : « meme un non-juif qui respecte les lois que lui indique la Thora (=les 7 lois noahides) est comparable au grand pretre du temple de Jerusalem (aré ou kecohen gadol).
 
Et il y a encore de nombreux textes qui vont dans ce sens dans le talmud.
 
Comment , dès lors , s’imaginer que le talmud ne respecterait pas la proprieté d’un  non-juif alors qu’il le hisse au rang le plus élevé du judaisme « comparable au grand pretre… »
 
 
9)  Schabouth Hag. 6b: « Les Juifs peuvent prêter un faux serment par subterfuge (en jouant sur le sens des mots). « 
 
Là ça va etre difficile de trouver la source falsifiée, car « schabouth hag » ça  ne veut rien dire et n’existe pas. ça n’est pas le titre d’un volume du talmud ni non plus une reference au shoulhan arouh, ni à aucun livre juif.
 
Il y a bien un traité du talmud dont le nom est shev ou o t mais « hag » ne correspond à rien, et en page 6b de shevouot il n’y a rien qui puisse –meme une fois deformé- ressembler à ce que notre accusateur pretend y avoir trouvé.
 
Et le probleme c’est que dans tout le talmud on ne trouvera pas cette phrase.
 
Mais j’imaginerai bien un texte qui parlerai du cas où un akoum adorateur du Baal voudrait forcer un juif à renier sa foi et à jurer qu’il ne servira plus que le Baal, 
sur quoi le talmud dirait que ce malheureux juif doit encore trouver une formule qui permet de jouer sur les mots et ne pas se contenter de dire que ce serment n’a pas de valeur car il a été forcé…
 
et tout ça, car le talmud est extremement pointilleux sur l’importance de l’engagement et de la parole, il faut donc à tout prix eviter de ne pas respecter un serment, et meme si l’on est forcé de prononcer un serment par la menace, situation où tout etre humain ne s’inquièterait pas outre mesure et n’accorderait aucun poids à cet « engagement », le talmud recommande malgré tout de prononcer une phrase ambiguë et de jouer sur les mots pour ne pas à avoir à « transgresser » meme un serment forcé.
 
On  peut imaginer encore beaucoup de choses, mais en aucun cas que l’on puisse tricher dans un serment volontaire pour voler un non-juif, surtout que ce dernier est, comme on l’a vu plus haut digne du plus haut respect pour le talmud.
 
Si notre détracteur voulait bien se donner la peine de recopier correctement sa liste de passages falsifiés, cela simplifierait les choses.
 
Car on pourrait imaginer que « hag » n’est que le début d’un mot, ce qui ouvrirait plusieurs portes.
Comme peut-etre « sh ev ou o t hag aot asheri « 
ce n’est plus un texte du talmud, il s’agit d’annotations sur le livre du Rosh –rabbin du début du 14ème siecle- mais de toute façon il n’y a pas de page 6b !
c’est imprimé systematiquement suite aux pages du talmud lui-même et donc ne commence qu’en page 50b et se termine en 56b, j’ai evidemment supposé qu’il manquerait un 5 pour faire 56b mais il n’y a rien qui fasse l’affaire là-bas non plus.
 
« hag » pourrait etre encore le debut d’autres mots mais rien ne me vient à l’esprit qui pourrait faire l’affaire, pourtant j’ai fait preuve de plein de bonne volonté.
Navré.
 
Et c’est dommage car quelque chose me dit qu’on aurait encore bien rigolé des delires de notre antisemite en herbe.
 
 
 
 10)   Talmud IV/1/113b: « Le Juif est autorisé à exploiter l’erreur d’un non-juif pour le tromper”.
 
Tiens , ça aussi c’est rigolo car Talmud IV /1/113b c’est une autre manière de renvoyer àbaba kama 113b (car baba Kama est le premier traité du tome IV de certaines editions anciennes) reference dejà citée en n°3 plus haut (113a).
Donc en fait c’est lui qui joue sur les mots!
 
L’accusation est fausse, comme d’habitude.
 
Il n’y est dit que ce que l’on a dejà dit, à savoir qu’il n’est pas ecrit « nohri » (=non-juif) mais akoum (= criminel).
Inutile de repeter.
Par contre il est peu etre utile de souligner une nouvelle fois le ridicule de ces accusations qui ne prouvent que l’ignorance et la mauvaise foi de l’accusateur.
Je réhitère donc mes conseils de se renseigner convenablement, de s’interesser sincèrement, et de cesser de denigrer systematiquement tout ce qui n’est pas « ma religion » ou « ma conception », il faut s’ouvrir un peu sur le monde, ça ne fait pas de mal bien au contraire!
11)  Talmud IV/2/70b: « Le Juif est autorisé à pratiquer l’usure sur le non-juif.”
 
La reference telle qu’elle est citée est: Talmud IV/2/70b   , en fait le 2ème traité du tome IV se nomme baba metsia, et en page 70b il est ecrit que le juif peut prendre du non juif des interets(ribith) sur un prêt d’argent. Mais l’ usure est une pratique interdite.
La difference entre le prêt à interet et l’usure, c’est que le 1er est ce qui se fait partout en France comme ailleurs, lorsqu’on prete une grosse somme, puisqu’on aurait pu la faire fructifier avec le temps, par conséquent il est juste que l’emprunteur qui va disposer de cette somme pendant un laps de temps paye des interets au preteur.
 
Par  contre l’usure c’est de prendre beaucoup trop « d’interets », plus que ce que la logique et la loi ne le permettent, en profitant de la difficulté de la situation de l’emprunteur, et ça c’est interdit.
(Voir à ce sujet les « decisions doctrinales du grand sanhedrin » à Paris en 1807 imprimées en 1812 article 9)
 
Donc ce que le talmud permet c’est ce que la loi française permet (et souhaite) ; prendre des interets à un taux sensé.
D’ailleurs s’il était interdit de prendre des interets sur un prêt important, qui preterait une grosse somme à un inconnu alors que l’on pourrait faire fructifier cette somme en achetant un terrain ou un appartement et en le louant?
 
Serait-il juste d’interdire de prendre des interets, cela entrainerait que l’emprunteur puisse aller acheter un appartement avec l’argent emprunté qu’il remboursera sans interets avec les loyers qu’il touchera, puis s’enrichira « sur le dos » du preteur!
C’est pourquoi il est logique qu’il partage le bénéfice avec le preteur en lui payant des interets.
 
Mais je m’arrete là, j’ai l’impression d’expliquer la table de multiplications de 5 à un enfant , est-il nécessaire de justifier le talmud qui permet le prêt à interet dans le but de developper l’economie? est-ce là un si grand crime? 
 
12)  Sotah, 12a: « L’argent du Juif pieux est plus précieux pour lui que son propre corps.”
 
Pour une fois, il (=notre accusateur ou son informateur)  n’a pas ajouté de mots, il a seulement mal compris le texte.
 
Ce qui indique que c’était probablement la seule citation qu’il pensait etre vraie, dans les autres cas il savait bien qu’il ajoutait ou retranchait ou deformait pour arriver à ses fins, mais là c’est vraiment le texte, seulement compris de travers, ce qui indique à la fois le niveau mental et moral de notre protagoniste.
 
Comment un etre doté d’un minimum de bon sens pourrait s’imaginer que le talmud dirait de ses propres adeptes et des plus pieux parmi eux, qu’ils preferent leur argent à leur vie?
Que faire de l’argent une fois mort?
Seuls quelques fous extremement riches auront du mal et hesiteront entre leur vie et leur argent, mais meme le plus idiot des fous ,s’il n’est pas particulierement riche , n’hesitera pas un instant.
Dès lors comment croire que le talmud dirait cela de tout juif pieux?
 
Je pense que là, la mauvaise volonté, meme poussée à son paroxisme est insuffisante pour pretendre une chose si ridicule. Il faut assurement lui enjoindre une dose de crétinerie.
 
Si encore il avait deformé le texte comme il en est accoutumé, et avait pretendu que le talmud dit cela sur le non-juif , il aurait pu esperer une quelconque crédibilité chez les antisemites au cerveau deficiant, qui lui auraient fait confiance les yeux fermés, mais non, il ne craint pas le ridicule et soutient que le talmud pense du mal des juifs!
 
(Donc d’apres cela, lui-meme pense comme le talmud –du mal des juifs- alors pourquoi le critique-t-il au juste?)   
 
Venons-en au texte.
 
Il y est dit: plus que son  » corps « 
et pas plus que son « ame »/ sa « vie ».
 
C’est-à-dire que l’homme pieux qui utilise chacune de ses possessions pour repandre le bien autour de lui, que ce soit en distribuant de l’aumone aux pauvres, ou d’une autre manière, et qui fait extremement attention de ne pas prendre l’argent des autres, preferera son argent au confort de son corps.
 
Par conséquent il ne depensera pas son argent betement dans l’achat d’une voiture luxueuse, par exemple, s’il sait qu’il peut aider des pauvres avec cet argent, il se contentera donc du minimum pour lui, afin de pouvoir donner le maximum aux autres.
 
Voilà ce que veut dire ce texte du talmud.
 
Et il faut vraiment etre stupide pour imaginer qu’il veuille dire ce que notre détracteur voulait lui faire dire.
 
13)  Schulchan Aruch, Choszen Hamiszpat 348: “Toute la propriété des autres nations appartient à la nation juive qui est par conséquent habilitée à s’en saisir sans scrupules.”
 
Il faut dire hoshen mishpat 348.
 
A part ça, c’est du pur délire!
 
C’est peut-etre pour cela qu’il n’a pas donné la reference avec precision et s’est contenté d’indiquer le siman 348 sans preciser le séif(alors que plus haut à chaque fois que le shulhan arouh était cité il precisait aussi le seif. Voir citations n° 5,6,et 7).
 
En fait il s’agit de 348,2 et voici ce qui y est dit:
celui qui vole meme une « perouta » (= 1 centime)transgresse l’interdit de la Thora « tu ne volera point » et est obliger de restituer l’objet volé(meme s’il faut voyager jusqu’au bout du monde pour rembourser un centime volé -baba metsia 55a), et ce, sans distinction s’il a volé un juif ou un meme un akoum, et sans distinction s’il a volé un adulte ou un enfant .
Et là-dessus le « rama » ajoute au texte du shoulhan arouh qu ‘il est interdit de voler le akoum mais qu’il est permis de ne pas lui restituer l’erreur de monnaie (comme on l’a dejà expliqué plus haut) et ce, uniquement pour le akoum mais non pour le non-juif.
 
Bref , toutes ces references ne sont qu’un tissus de mensonges et je ne sais pas si notre hurluberlu est chretien ou musulman, mais dans les deux cas il ferait mieux de scruter sa propre religion et ses coreligionnaires, car il y a aussi beaucoup à redire.
 
Si l’on veut mal interpreter les textes des Evangiles ou du Coran, c’est tres facile, et on y trouve tout ce qu’on veut
Seulement le fait qu’il y ait eu et qu’il existe encore des adeptes de ces religions qui sont integres, nous prouve bien que tout est une question d’interpretation.
 
S’il fallait se baser sur la comprehension du Coran de Ben Laden ou sur le comportement des voyous qui se reclament de l’islam, on aurait vite fait de condamner le Coran sans reflechir pour etre un texte qui excite les masses et les poussent au meurtre, je pense que si Mahomet était vivant, il aurait lui-même coupé la tete de Ben Laden et flanqué une bonne correction à tous ces voyous qui ternissent l’image de l’islam dans le monde.
 
Mais heureusement qu’il y a eu des Avicenne (Ibn Sina) puis Averroes (Abou al-Walid Ibn Roushd) et encore d’autres qui étaient tres croyants et tres respectueux de la vie humaine, ils etaient droits, sages et integres.
 
Aujourd’hui aussi il y en a, seulement ils se font moins remarquer que les fanatiques, et les médias preferent parler des fous.
 
De meme, s’il fallait juger l’eglise sur son passé fort peu glorieux, et sur ses crimes durant de longs siecles pendant lesquels elle à brulé vifs juifs, musulmans, ou toute personne qui avait une autre conception de « l’amour du prochain » que ces voyous de papes et rois « assassins au nom de l’amour ».
 
Mais il y a eu heureusement des justes meme parmi les chretiens et il y en a encore Dieu merci.
 
En conclusion , j’encouragerai vivement les chretiens et les musulmans qui s’interessent au judaisme à renseigner aupres de gens sensés [et de preference  pas trop ignorants des textes fondateurs], pour disposer de renseignements objectifs.
J’aurai encore pas mals de bons conseils ainsi que plusieurs remarques sur la morale plus qu’exigente du talmud qui pousse à l’integrité et à l’irreprochabilité.
J’ai aussi des remarques sur les Evangiles et sur le Coran que j’aimerai partager avec des spécialistes qui seraient en mesure de me repondre convenablement, (et je suppose que l’auteur des citations antisemites n’est pas la bonne personne, je cherche donc ailleurs)  mais le fait de ne pas les avoir encore trouvés ne m’empeche pas de garder intacte l’estime que j’ai pour ces religions, car elle ont toutes deux été les religions d’hommes remarquables et tous les crimes perpetrés par d’autres adeptes de ces religions ne suffiront  pas à faire disparaitre de l’histoire ces hommes droits et justes.
(tiens, quand j’y pense, les juifs n’ont jamais tué qui que se soit ni commis de crimes pour faire reigner leur religion…) .
 
J’ai aussi plusieurs sujets de théologie à partager avec des interlocuteurs sensés, et des réflexions à adresser à la jeunesse musulmane qui s’egare par la faute d’imams stupides alors qu’il existe aujourd’hui, meme à Paris, d’autres imams dignes de ce titre. C’est vraiment dommage. On pourrait tellement bien vivre dans un respect mutuel.