La ministre israélienne Tsipi Livni et le négociateur palestinien Saeb Arekat ont été reçus mardi à la Maison Blanche par le président américain Barack Obama.

Les Palestiniens, toujours aussi intransigeants, continuent de prétendre que c’est la poursuite de la construction dans les "implantations juives" qui fait obstacle au "processus de paix". C’est cette version qui est adoptée par les médias occidentaux.
 
Les délégués des deux camps pourraient se revoir dans deux semaines au Proche-Orient mais le lieu du rendez-vous n’aurait pas encore été fixé.
 
Les Américains affichent un « optimisme » prématuré, ne serait-ce que pour encourager le secrétaire d’Etat John Kerry qui cherche absolument à obtenir des résultats après les efforts qu’il a déployés ces derniers temps.
 
En Israël, on est en revanche très divisé quant aux moyens utilisés pour revenir à la table des négociations et quant aux concessions acceptées par le gouvernement.

Les médias locaux ont notamment souligné que la majorité des députés du Likoud, parti du Premier ministre Binyamin Netanyahou, s’opposent à la création d’un Etat palestinien, exigence sine qua non des dirigeants de l’AP qui réclament un "retour aux frontières de 1967".