Un des fidèles du Admor de Tchernobyl a été cette semaine demandé un conseil, et une bénédiction, suite à de lourds problèmes financiers. Jusque-là sa démarche était des plus ordinaires. La réponse n’a pas tardée, insolite…

Du fond de son beit hamidrash à Bnei Brak, le Admor lui a demandé quel était son métier.  Le Hassid a expliqué avoir eu plusieurs années auparavant une formation de photographie artistique, mais que la demande dans le secteur Haredi est aujourd’hui quasi inexistante dans ce secteur.

Le Admor a proposé au Hassid venu le consulter de le photographier, et de commercialiser son image. Une suggestion surprenante quand on connaît les réticences de tous les membres de cette Hassidout à accepter l’utilisation de cette appareil, et le tirage d'images, même lors de mariages.

Le Admor a même consenti à venir au studio du Hassid à Bnei Brak pendant de longues heures afin d’assurer les bonnes conditions de capture d’image. Une geste apprécié par le hassid à sa juste valeur.  

La rédaction