C’était prévisible mais c’est quand même la consternation dans la communauté juive de France après le vote à l’Assemblée nationale en faveur d’une proposition de résolution qu’a présentée le Parti socialiste invitant le gouvernement français à 'reconnaitre un État palestinien'.
Attentat ou accident ? La police s’interroge toujours sur les circonstances de la collision au carrefour d’Alon, près de Shilo, dans laquelle un piéton israélien d’une soixantaine d’années a été grièvement blessé.
Les dernières démarches entreprises pour éviter l’éclatement du gouvernement semblent avoir été vaines. Netanyahou a reçu Yaïr Lapid, ministre des Finances et chef du parti Yesh Atid, dans l’espoir peut-être de calmer le jeu et de sauver sa coalition.
Gill Rosenberg apporte enfin un démenti aux informations de Daech qui prétendait l’avoir enlevée.
Un Israélien d’une trentaine d’années a été légèrement blessé à l’épaule en fin de matinée, au carrefour du Goush Etsion, par une terroriste qui l’a frappé avec son couteau. La Palestinienne, âgée de 25 ans, a tenté de le poignarder mais elle ne l’a finalement qu’effleuré avec son arme blanche.
L’un des policiers grièvement blessé lors du massacre d’Har Nof est allé rendre visite au Rav Haïm Kaniewski dès sa sortie de l’hôpital.
La jeune Gill Rosenberg, juive d’origine canadienne, a fait parler d’elle ces derniers temps : montée en Israël, elle a décidé de rejoindre les forces kurdes combattant les Djihadistes en Syrie.
C’est officiel. Désormais, chaque année, Israël commémorera par une cérémonie l’expulsion et l’exode des Juifs des Etats arabes et d’Iran.
Les élections semblent inévitables en Israël mais on ignore encore à quel moment elles se tiendront. En attendant, le Premier ministre poursuit ses pourparlers avec les dirigeants des différents partis, tant dans sa coalition que dans l’opposition afin de tâter le terrain et d’envisager son avenir politique de la façon la plus efficace possible.
Une grande soirée de commémoration a eu lieu samedi soir dans la synagogue Lederman de Bnei Brak en hommage aux victimes du massacre perpétré par des terroristes dans une synagogue d’Har Nof, à Jérusalem.