Parachath et haftarath Chemini

La Tora énonce dans la parachath Chemini les deux attributs qui définissent la cacherouth d’un poisson : des nageoires et des écailles. Il n’existe pas de poisson, énoncent nos Sages, qui ait des écailles sans avoir de nageoires. Et pourquoi, se demandent-ils, la Tora spécifie-t-elle cette exigence de nageoires, apparemment inutile ?

Les trois fêtes au temple de Jérusalem

Dans la paracha Emor, figure toute la liste des fêtes du calendrier hébraïque. Le rav Zilberstein remarque à ce propos dans son livre « Alénou lechabéa’h » que la Torah répète à trois reprises l’obligation de venir au Bet Hamikdach – au moment de Pessa’h, de Chavouot et de Souccot -, et ce successivement dans les parachiyot Michpatim, Ki Tissa et Reé

Parachath Tsaw et haftarath Chabbath ha-gadol





Parachath Tsaw 

Le

chalchéleth

dans la Tora

Le signe de cantillation appelé chalchéleth (« chaîne ») figure à quatre reprises dans la Tora (Premiers mots de Berèchith 19, 16 ; Berèchith 24, 12 ; Berèchith 39, 8 ; Wayiqra  8, 23) en relation avec Lot, Eliézèr, Joseph et Moïse.

Celui qui apparaît dans la parachath Tsaw est le dernier de la série : «  [Moïse] égorgea ( wayich?hat ), Moïse prit de son sang, il le mit sur le lobe de l’oreille droite d’Aaron, et sur le pouce de sa main droite et sur le gros orteil de son pied droit.  »