Pas de malédictions, mais bénédictions cachées…

Vers la fin du livre de Dévarim, qui est essentiellement composé des reproches formulés au peuple hébreu par Moché avant son décès, apparaissent les plus sévères remontrances de la Torah, exposées dans la paracha de Ki Tavo. Dans ces remontrances, le Saint béni soit-Il met en garde Israël de ne pas violer Sa parole, sous peine de subir des châtiments plus terribles les uns que les autres. Mais avant cette longue liste menaçante, la Torah énonce une série de bénédictions.

La parabole de la semaine

« Ne laboure pas avec un bœuf et un âne attelés ensemble ! », (Devarim, 22, 10). Rachi ajoute à ce propos qu’il en va de même pour toutes les espèces animales existantes qui diffèrent rentes ; et il en va de même si on les mène harnachés par paires pour transporter quelque fardeau (Traité talmudique Baba Métsia, page 8/b).

Le divorce, un mal nécessaire

L’institution du divorce, rapidement évoquée dans notre paracha ( Devarim 24, 1 à 4), a donné lieu dans les textes talmudiques et post-talmudiques, a une abondante littérature. L’une des questions qui se posent au sujet du divorce est de savoir quelle en est la légitimité, alors que le mariage, véritable sacrement (Qiddouchine), aurait dû être indissoluble.

Le Séfer Torah, compagnon de la vie.

Dans la Paracha Choftim, la Torah ordonne au roi d’Israël d’écrire un Séfer Torah, en plus du Séfer Torah que chaque membre du peuple juif se doit d’écrire (voir Dévarim 17-18 et 31-19). Essayons donc de comprendre la fonction de ce Séfer Torah pour chaque Juif ainsi que l’utilité de deux Sifré Torah pour le roi.

L’annonciateur de bonnes nouvelles

« Combien sont beaux sur les montagnes les pieds de l’annonciateur, le héraut de la paix, l’annonciateur de bonnes nouvelles, le héraut du salut, celui qui dit à Sion : Ton Dieu est roi ! » (Isaïe 51, 7). Pour expliquer ce verset, Malbim se réfère à un autre passage du livre d’Isaïe, que nous avons lu dans la haftara de la parachath Waeth‘hanan.