Si‘hon, ‘Og et les remontrances
« Après qu’il eut frappé Si‘hon, roi du Emori, qui demeurait à ‘Hechbon, et ‘Og, roi du Bachane, qui demeurait à ‘Achteroth, à Edré‘i » (Devarim 1, 4).
« Après qu’il eut frappé Si‘hon, roi du Emori, qui demeurait à ‘Hechbon, et ‘Og, roi du Bachane, qui demeurait à ‘Achteroth, à Edré‘i » (Devarim 1, 4).
On pense bien souvent que faire des reproches est plus facile que d’en entendre. Mais si l’on suit les prescriptions de la Thora à ce sujet, il est parfois plus simple d’écouter quelques critiques !
La viande de ces animaux offerts était
consommée par celui qui offrait cesacrifice
(« korban »), ainsi que par sa
famille et ses invités : étrangers, veuves, orphelins,
Léviim et gens nécessiteux.
« Car cette loi que Je t’impose en ce jour, elle n’est ni trop ardue pour toi, ni placée trop loin (…). Non, la chose est tout près de toi : tu l’as dans la bouche et dans le coeur pour pouvoir l’observer ! », (Dévarim 30, 11-14).
<
Parachath Ki thavo ? « Un Araméen a voulu perdre mon père »
« Un Araméen [Laban] a voulu perdre mon père [Jacob], il est descendu en Egypte? » ( Devarim 26, 5).
Quel est le rapport entre la première partie du verset, qui signale les intentions malveillantes de Laban, et la deuxième, qui rappelle la descente de Jacob en Egypte ?
On pourrait résumer le cas de
la « yéfat toar » – sur lequel
débute notre paracha de
Ki-Tétsé – par ces quelques mots
de Rachi (Dévarim, chapitre 21,
11) : « La Torah ne s’est prononcée
ici que par opposition au mauvais
penchant, car si le Saint Béni soit-
Il n’avait pas permis cette femme,
l’homme la prendrait tout de même
de manière interdite ».
Notifications