Parachat Ki Tétsé par Rav Rozenberg
Cours de Rav Rozenberg sur les parachiot
Cours de Rav Rozenberg sur les parachiot
Pourquoi le jugement du fils rebelle est-il différent de celui d’Ichma’el?
Que nous enseigne l’enfant rebelle ?
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Cours vidéo sur la Paracha de cette semaine, Ki Tetsé en vidéo par Rav Raphaël Sadin.
« Ne laboure pas avec un bœuf et un âne attelés ensemble ! », (Devarim, 22, 10). Rachi ajoute à ce propos qu’il en va de même pour toutes les espèces animales existantes qui diffèrent rentes ; et il en va de même si on les mène harnachés par paires pour transporter quelque fardeau (Traité talmudique Baba Métsia, page 8/b).
L’institution du divorce, rapidement évoquée dans notre paracha ( Devarim 24, 1 à 4), a donné lieu dans les textes talmudiques et post-talmudiques, a une abondante littérature. L’une des questions qui se posent au sujet du divorce est de savoir quelle en est la légitimité, alors que le mariage, véritable sacrement (Qiddouchine), aurait dû être indissoluble.
Il est relativement facile de comprendre la raison que donne la Tora ( Devarim 25, 6) à l’institution du yibboum (« lévirat ») : Il s’agit d’éviter que le nom du mari défunt soit effacé d’Israël.
Dans la bouche de Bilaam, le prophète de mauvais augure délégué par le roi Balak, la nation d’Amalek est qualifiée en ces termes: « Amalek est à la tête des peuples». Or, cette désignation de « Réchit » – qui évoque à la fois la tête, le commencement et l’éminence d’un peuple – s’avère être le caractère propre d’Amalek et précisément ce qui le conduit tout droit à sa perte…
S’il est vrai que les chiv‘a de-ne‘hmatha , ces sept haftaroth qui sont récitées après le jeûne du 9 av , sont généralement sans rapport avec les parachiyoth auxquelles elles sont associées, on peut remarquer que celle de la parachath Ki tètsè , en seulement dix versets, offre de nombreuses analogies avec celle qu’elle accompagne.
Dans cette haftara (Isaïe 54, 1 à 10), nous explique le rabbin Jean Schwartz dans son livre sur les haftaroth, le prophète nous fait assister à l’accueil que réservera Jérusalem à ses enfants lorsqu’ils y retourneront.
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