Du nouveau, toujours du nouveau
La paracha des Bikourim est toujours lue à l’approche de Roch haChana. L’occasion donc d’approfondir quelque peu l’idée même de « commencement»…
La paracha des Bikourim est toujours lue à l’approche de Roch haChana. L’occasion donc d’approfondir quelque peu l’idée même de « commencement»…
Nos sages, en particulier le Rambam, nous ont fait un devoir de lire la paracha Ki Tavo avant Roch Hachana afin que s’accomplisse le souhait exprimé au premier soir de cette fête : « Que l’année s’achève avec ses malédictions et que la nouvelle commence avec ses bénédictions ! ». Que signifie cet enchaînement ?
La parachath Ki thavo emploie, pour désigner une calamité, la même expression que celle que nous utilisons, dans nos prières de Yom kippour, pour caractériser une manière de pécher. Laquelle ?
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Cours vidéo par le rav Dov Roth-Lumbroso, sur la Pracha de cette semaine, Ki Tavo. Est présenté la Mitsva des Bicourim, celle d’amener le prémices de la récolte en offrande au Beth Hamikdach.
Vers la fin du livre de Dévarim, qui est essentiellement composé des reproches formulés au peuple hébreu par Moché avant son décès, apparaissent les plus sévères remontrances de la Torah, exposées dans la paracha de Ki Tavo. Dans ces remontrances, le Saint béni soit-Il met en garde Israël de ne pas violer Sa parole, sous peine de subir des châtiments plus terribles les uns que les autres. Mais avant cette longue liste menaçante, la Torah énonce une série de bénédictions.
Dans notre paracha, la Torah répète pour la troisième fois l’interdiction de retourner vivre en Egypte. Outre les détails de cette interdiction, il convient essentiellement de déterminer si elle persiste également de nos jours.
« Hachem te maintiendra comme Sa nation sainte, ainsi qu’Il te l’a juré, tant que tu garderas les commandements de l’Éternel, ton D.ieu, et que tu marcheras dans Ses voies », (Dévarim, 28, 9).
« Si tu obéis à la voix de l’Éternel, ton Dieu, observant avec soin tous ses préceptes, que je t’impose en ce jour, (…) Béni seras-tu à ton arrivée, et béni encore à ton départ! » (Devarim 28, 1-6). Le Rav Its’hak Zilberstein chlita, le rav de Ramat El’hanan, raconte la parabole suivante, qu’il a entendue d’un témoin qui a assisté lui-même à son déroulement à Moscou, au début du soulèvement communiste.
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