Pas de malédictions, mais bénédictions cachées…

Vers la fin du livre de Dévarim, qui est essentiellement composé des reproches formulés au peuple hébreu par Moché avant son décès, apparaissent les plus sévères remontrances de la Torah, exposées dans la paracha de Ki Tavo. Dans ces remontrances, le Saint béni soit-Il met en garde Israël de ne pas violer Sa parole, sous peine de subir des châtiments plus terribles les uns que les autres. Mais avant cette longue liste menaçante, la Torah énonce une série de bénédictions.

La parabole de la semaine

« Si tu obéis à la voix de l’Éternel, ton Dieu, observant avec soin tous ses préceptes, que je t’impose en ce jour, (…) Béni seras-tu à ton arrivée, et béni encore à ton départ! » (Devarim 28, 1-6). Le Rav Its’hak Zilberstein chlita, le rav de Ramat El’hanan, raconte la parabole suivante, qu’il a entendue d’un témoin qui a assisté lui-même à son déroulement à Moscou, au début du soulèvement communiste.