Parachath et Haftarath Bechala’h
Parachath Bechala’h – La manne, nourriture pour les oiseaux.
Il est d’usage à Chabbath Bechalah’, dans beaucoup de foyers juifs, de distribuer aux oiseaux des grains de blé ou des miettes de pain…
Parachath Bechala’h – La manne, nourriture pour les oiseaux.
Il est d’usage à Chabbath Bechalah’, dans beaucoup de foyers juifs, de distribuer aux oiseaux des grains de blé ou des miettes de pain…
L’un des versets de la parachath Bechala‘h ( Chemoth 16, 16) contient une particularité. Quelle est-elle ?
Un autre verset de la Tora présente la même particularité. Lequel ?
Les Bnei Israël ont chanté la chira « Az Yachir Moshé… » pendant la traversée de la mer rouge.
Quel est le sens de ce chant ? Pourquoi avoir entonné la chira après l’ouverture de la Mer Rouge et non après les 10 plaies ?
Texte tiré de l’ouvrage Sihot Moussar du Rav Haïm Chmoulevitch
Adaptation en français par le Professeur F.H Lumbroso
Éditions Olam Hassefer
La Segoula pour la Parnassa : cette coutume ancestrale est respectée tous les ans par de nombreux fidèles qui souhaitent ainsi bénéficier de l’aide divine pour obtenir un gagne-pain respectable.
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Le trait d’union entre Parashat Beshalah et Tou bishevat par le Rav Abdelhak
Le problème de la subsistance de l’homme – ou, comme l’on dit aujourd’hui, de « l’organisation économique » – a toujours constitué une question majeure dans toutes les sociétés. La Torah l’évoque dès la Sortie d’Égypte en des termes intéressants…
La manne que consommèrent les Hébreux pendant les quarante années de pérégrination dans le désert était un aliment extraordinaire. Le verset en témoigne lui-même : « Il t’a nourri avec cette manne que tu ne connaissais pas et que n’avaient pas connue tes pères » (Dévarim 8, 3).
La liberté et le bonheur selon la Thora ?