Le Midrach – témoignages d’inconscient

Dans notre paracha, la Torah relate que le peuple hébreu se plaignit amèrement de la Manne : « Qui nous donnera de la viande à manger ? Il nous souvient du poisson que nous mangions pour rien en Egypte, des concombres et des melons […] Maintenant, nous manquons de tout : point d’autre perspective que la manne ! » (Bamidbar 11, 4-5).

Justice et bienfaisance

Dans l’esprit de la Torah, une personne qui a fauté et qui est punie en conséquence, ne mérite pas pour autant d’être écartée de ses droits et privilèges sociaux. Même au moment où la sanction la frappe – ou plutôt… précisément à cet instant ! -, il convient de se souvenir de ses mérites et en aucun cas l’exclure. C’est notamment ce message que véhicule l’histoire de Myriam la prophétesse.